Samedi 28 janvier 2023 — Troisième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que ceux qui croient en lui aient la vie éternelle — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc. 4, 35-40)
Vendredi 27 janvier 2023 — Troisième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Tu es béni, Père, Seigneur du ciel et de la terre, tu as révélé aux tout-petits les mystères du Royaume — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc. 4, 26-34)
Jeudi 26 janvier 2023 — Troisième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Ta parole est la lumière de mes pas, la lampe de ma route — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc. 4, 21-25)
Mercredi 25 janvier 2023 — Conversion de saint Paul Apôtre — Fête — Tu es béni, Père, Seigneur du ciel et de la terre, tu as révélé aux tout-petits les mystères du Royaume — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc. 16, 15-18)
Mardi 24 janvier 2023 — Troisième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Tu es béni, Père, Seigneur du ciel et de la terre, tu as révélé aux tout-petits les mystères du Royaume — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc. 3, 31-35)
Lundi 23 janvier 2023 — Troisième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Notre Sauveur, le Christ Jésus, a détruit la mort ; il a fait resplendir la vie par l’Évangile — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc. 3, 22-30)
Dimanche 22 janvier 2023 — Troisième dimanche du Temps Ordinaire — Année A — Jésus proclamait l’Évangile du Royaume, et guérissait toute maladie dans le peuple — Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 4, 12-23
Lettre aux Hébreux (He 11, 1-2. 8-19)
Frères,
la foi est une façon de posséder ce que l’on espère,
un moyen de connaître des réalités qu’on ne voit pas.
Et quand l’Écriture rend témoignage aux anciens,
c’est à cause de leur foi.
Grâce à la foi, Abraham obéit à l’appel de Dieu :
il partit vers un pays
qu’il devait recevoir en héritage,
et il partit sans savoir où il allait.
Grâce à la foi, il vint séjourner en immigré dans la Terre promise,
comme en terre étrangère ;
il vivait sous la tente,
ainsi qu’Isaac et Jacob,
héritiers de la même promesse,
car il attendait la ville qui aurait de vraies fondations,
la ville dont Dieu lui-même est le bâtisseur et l’architecte.
Grâce à la foi, Sara, elle aussi, malgré son âge,
fut rendue capable d’être à l’origine d’une descendance
parce qu’elle pensait que Dieu est fidèle à ses promesses.
C’est pourquoi, d’un seul homme, déjà marqué par la mort,
a pu naître une descendance aussi nombreuse
que les étoiles du ciel
et que le sable au bord de la mer,
une multitude innombrable.
C’est dans la foi, sans avoir connu la réalisation des promesses,
qu’ils sont tous morts ;
mais ils l’avaient vue et saluée de loin,
affirmant que, sur la terre,
ils étaient des étrangers et des voyageurs.
Or, parler ainsi, c’est montrer clairement
qu’on est à la recherche d’une patrie.
S’ils avaient songé à celle qu’ils avaient quittée,
ils auraient eu la possibilité d’y revenir.
En fait, ils aspiraient à une patrie meilleure,
celle des cieux.
Aussi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu,
puisqu’il leur a préparé une ville.
Grâce à la foi, quand il fut soumis à l’épreuve,
Abraham offrit Isaac en sacrifice.
Et il offrait le fils unique,
alors qu’il avait reçu les promesses
et entendu cette parole :
C’est par Isaac qu’une descendance portera ton nom.
Il pensait en effet
que Dieu est capable même de ressusciter les morts ;
c’est pourquoi son fils lui fut rendu :
il y a là une préfiguration.
— Parole du Seigneur.
Luc (Lc 1, 69-70. 71-72. 73-75)
Il a fait surgir la force qui nous sauve
dans la maison de David, son serviteur,
comme il l’avait dit par la bouche des saints,
par ses prophètes, depuis les temps anciens :
salut qui nous arrache à l’ennemi,
à la main de tous nos oppresseurs,
amour qu’il montre envers nos pères,
mémoire de son alliance sainte,
serment juré à notre père Abraham
de nous rendre sans crainte,
afin que, délivrés de la main des ennemis,
nous le servions dans la justice et la sainteté,
en sa présence, tout au long de nos jours.
Alléluia. Alléluia.
Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique,
afin que ceux qui croient en lui aient la vie éternelle.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 4, 35-41)
Ce jour-là, le soir venu, Jésus dit à ses disciples :
“Passons sur l’autre rive.”
Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était,
dans la barque,
et d’autres barques l’accompagnaient.
Survient une violente tempête.
Les vagues se jetaient sur la barque,
si bien que déjà elle se remplissait.
Lui dormait sur le coussin à l’arrière.
Les disciples le réveillent et lui disent :
“Maître, nous sommes perdus ;
cela ne te fait rien ?”
Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer :
“Silence, tais-toi !”
Le vent tomba,
et il se fit un grand calme.
Jésus leur dit :
“Pourquoi êtes-vous si craintifs ?
N’avez-vous pas encore la foi ?”
Saisis d’une grande crainte,
ils se disaient entre eux :
“Qui est-il donc, celui-ci,
pour que même le vent et la mer lui obéissent ?”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Lettre aux Hébreux (He 10, 32-39)
Frères,
souvenez-vous de ces premiers jours
où vous veniez de recevoir la lumière du Christ :
vous avez soutenu alors le dur combat des souffrances,
tantôt donnés en spectacle sous les insultes et les brimades,
tantôt solidaires de ceux qu’on traitait ainsi.
En effet, vous avez montré de la compassion
à ceux qui étaient en prison ;
vous avez accepté avec joie
qu’on vous arrache vos biens,
car vous étiez sûrs de posséder un bien encore meilleur, et permanent.
Ne perdez pas votre assurance ;
grâce à elle, vous serez largement récompensés.
Car l’endurance vous est nécessaire
pour accomplir la volonté de Dieu
et obtenir ainsi la réalisation des promesses.
En effet, encore un peu, très peu de temps,
et celui qui doit venir arrivera,
il ne tardera pas.
Celui qui est juste à mes yeux par la foi vivra ;
mais s’il abandonne,
je ne trouve plus mon bonheur en lui.
Or nous ne sommes pas, nous, de ceux qui abandonnent
et vont à leur perte,
mais de ceux qui ont la foi
et sauvegardent leur âme.
— Parole du Seigneur.
Psaume (Ps 36 (37), 3-4. 5-6. 23-24. 39-40ac)
Fais confiance au Seigneur, agis bien,
habite la terre et reste fidèle ;
mets ta joie dans le Seigneur :
il comblera les désirs de ton cœur.
Dirige ton chemin vers le Seigneur,
fais-lui confiance, et lui, il agira.
Il fera lever comme le jour ta justice,
et ton droit comme le plein midi.
Quand le Seigneur conduit les pas de l’homme,
ils sont fermes et sa marche lui plaît.
S’il trébuche, il ne tombe pas
car le Seigneur le soutient de sa main.
Le Seigneur est le salut pour les justes,
leur abri au temps de la détresse.
Le Seigneur les aide et les délivre,
car ils cherchent en lui leur refuge.
Alléluia. Alléluia.
Tu es béni, Père, Seigneur du ciel et de la terre,
tu as révélé aux tout-petits les mystères du Royaume !
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 4, 26-34)
En ce temps-là,
Jésus disait aux foules :
“Il en est du règne de Dieu
comme d’un homme qui jette en terre la semence :
nuit et jour,
qu’il dorme ou qu’il se lève,
la semence germe et grandit,
il ne sait comment.
D’elle-même, la terre produit d’abord l’herbe,
puis l’épi, enfin du blé plein l’épi.
Et dès que le blé est mûr,
il y met la faucille,
puisque le temps de la moisson est arrivé.”
Il disait encore :
“À quoi allons-nous comparer le règne de Dieu ?
Par quelle parabole pouvons-nous le représenter ?
Il est comme une graine de moutarde :
quand on la sème en terre,
elle est la plus petite de toutes les semences.
Mais quand on l’a semée,
elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères ;
et elle étend de longues branches,
si bien que les oiseaux du ciel
peuvent faire leur nid à son ombre.”
Par de nombreuses paraboles semblables,
Jésus leur annonçait la Parole,
dans la mesure où ils étaient capables de l’entendre.
Il ne leur disait rien sans parabole,
mais il expliquait tout à ses disciples en particulier.
— Acclamons la Parole de Dieu.
Lettre aux Hébreux (He 10, 19-25)
Frères,
c’est avec assurance
que nous pouvons entrer dans le véritable sanctuaire
grâce au sang de Jésus :
nous avons là un chemin nouveau et vivant
qu’il a inauguré en franchissant le rideau du Sanctuaire ;
or, ce rideau est sa chair.
Et nous avons le prêtre par excellence,
celui qui est établi sur la maison de Dieu.
Avançons-nous donc vers Dieu
avec un cœur sincère
et dans la plénitude de la foi,
le cœur purifié de ce qui souille notre conscience,
le corps lavé par une eau pure.
Continuons sans fléchir d’affirmer notre espérance,
car il est fidèle, celui qui a promis.
Soyons attentifs les uns aux autres
pour nous stimuler à vivre dans l’amour et à bien agir.
Ne délaissons pas nos assemblées,
comme certains en ont pris l’habitude,
mais encourageons-nous,
d’autant plus que vous voyez s’approcher le Jour du Seigneur.
— Parole du Seigneur.
Psaume (Ps 23 (24), 1-2. 3-4ab. 5-6)
Au Seigneur, le monde et sa richesse,
la terre et tous ses habitants !
C’est lui qui l’a fondée sur les mers
et la garde inébranlable sur les flots.
Qui peut gravir la montagne du Seigneur
et se tenir dans le lieu saint ?
L’homme au cœur pur, aux mains innocentes,
qui ne livre pas son âme aux idoles.
Il obtient, du Seigneur, la bénédiction,
et de Dieu son Sauveur, la justice.
Voici le peuple de ceux qui le cherchent !
Voici Jacob qui recherche ta face !
Alléluia. Alléluia.
Ta parole est la lumière de mes pas,
la lampe de ma route.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 4, 21-25)
En ce temps-là,
Jésus disait à la foule :
“Est-ce que la lampe est apportée
pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ?
N’est-ce pas pour être mise sur le lampadaire ?
Car rien n’est caché,
sinon pour être manifesté ;
rien n’a été gardé secret,
sinon pour venir à la clarté.
Si quelqu’un a des oreilles pour entendre,
qu’il entende !”
Il leur disait encore :
“Faites attention à ce que vous entendez !
La mesure que vous utilisez
sera utilisée aussi pour vous,
et il vous sera donné encore plus.
Car celui qui a,
on lui donnera ;
celui qui n’a pas,
on lui enlèvera même ce qu’il a.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Lettre aux Hébreux (He 10, 11-18)
Dans l’ancienne Alliance,
tout prêtre, chaque jour, se tenait debout dans le Lieu saint
pour le service liturgique,
et il offrait à maintes reprises les mêmes sacrifices,
qui ne peuvent jamais enlever les péchés.
Jésus Christ, au contraire,
après avoir offert pour les péchés un unique sacrifice,
s’est assis pour toujours à la droite de Dieu.
Il attend désormais
que ses ennemis soient mis sous ses pieds.
Par son unique offrande,
il a mené pour toujours à leur perfection
ceux qu’il sanctifie.
L’Esprit Saint, lui aussi,
nous l’atteste dans l’Écriture,
car, après avoir dit :
Voici quelle sera l’Alliance
que j’établirai avec eux
quand ces jours- là seront passés,
le Seigneur dit :
Quand je leur donnerai mes lois,
je les inscrirai sur leurs cœurs et dans leur pensée
et je ne me rappellerai plus leurs péchés ni leurs fautes.
Or, quand le pardon est accordé,
on n’offre plus le sacrifice pour le péché.
— Parole du Seigneur.
Psaume (Ps 109 (110), 1. 2. 3. 4)
Oracle du Seigneur à mon seigneur :
“Siège à ma droite,
et je ferai de tes ennemis
le marchepied de ton trône.”
De Sion, le Seigneur te présente
le sceptre de ta force :
“Domine jusqu’au cœur de l’ennemi.”
Le jour où paraît ta puissance,
tu es prince, éblouissant de sainteté :
“Comme la rosée qui naît de l’aurore,
je t’ai engendré.”
Le Seigneur l’a juré
dans un serment irrévocable :
“Tu es prêtre à jamais
selon l’ordre du roi Melkisédek.”
Alléluia. Alléluia.
La semence est la parole de Dieu ;
le semeur est le Christ,
celui qui le trouve demeure pour toujours.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 4, 1-20)
En ce temps-là,
Jésus se mit de nouveau à enseigner au bord de la mer de Galilée.
Une foule très nombreuse se rassembla auprès de lui,
si bien qu’il monta dans une barque où il s’assit.
Il était sur la mer,
et toute la foule était près de la mer, sur le rivage.
Il leur enseignait beaucoup de choses en paraboles,
et dans son enseignement il leur disait :
“Écoutez ! Voici que le semeur sortit pour semer.
Comme il semait,
du grain est tombé au bord du chemin ;
les oiseaux sont venus et ils ont tout mangé.
Du grain est tombé aussi sur du sol pierreux,
où il n’avait pas beaucoup de terre ;
il a levé aussitôt,
parce que la terre était peu profonde ;
et lorsque le soleil s’est levé, ce grain a brûlé
et, faute de racines, il a séché.
Du grain est tombé aussi dans les ronces,
les ronces ont poussé, l’ont étouffé,
et il n’a pas donné de fruit.
Mais d’autres grains sont tombés dans la bonne terre ;
ils ont donné du fruit
en poussant et en se développant,
et ils ont produit
trente, soixante, cent, pour un.”
Et Jésus disait :
“Celui qui a des oreilles pour entendre,
qu’il entende !”
Quand il resta seul,
ceux qui étaient autour de lui avec les Douze
l’interrogeaient sur les paraboles.
Il leur disait :
“C’est à vous qu’est donné
le mystère du royaume de Dieu ;
mais à ceux qui sont dehors,
tout se présente sous forme de paraboles.
Et ainsi, comme dit le prophète :
Ils auront beau regarder de tous leurs yeux,
ils ne verront pas ;
ils auront beau écouter de toutes leurs oreilles,
ils ne comprendront pas ;
sinon ils se convertiraient
et recevraient le pardon.”
Il leur dit encore :
“Vous ne saisissez pas cette parabole ?
Alors, comment comprendrez-vous toutes les paraboles ?
Le semeur sème la Parole.
Il y a ceux qui sont au bord du chemin
où la Parole est semée :
quand ils l’entendent,
Satan vient aussitôt
et enlève la Parole semée en eux.
Et de même, il y a ceux qui ont reçu la semence
dans les endroits pierreux :
ceux-là, quand ils entendent la Parole,
ils la reçoivent aussitôt avec joie ;
mais ils n’ont pas en eux de racine,
ce sont les gens d’un moment ;
que vienne la détresse ou la persécution à cause de la Parole,
ils trébuchent aussitôt.
Et il y en a d’autres qui ont reçu la semence dans les ronces :
ceux-ci entendent la Parole,
mais les soucis du monde, la séduction de la richesse
et toutes les autres convoitises
les envahissent et étouffent la Parole,
qui ne donne pas de fruit.
Et il y a ceux qui ont reçu la semence dans la bonne terre :
ceux- là entendent la Parole, ils l’accueillent,
et ils portent du fruit :
trente, soixante, cent, pour un.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Lettre aux Hébreux (He 10, 1-10)
Frères,
la loi de Moïse
ne présente que l’ébauche des biens à venir,
et non pas l’expression même des réalités.
Elle n’est donc jamais capable,
par ses sacrifices qui sont toujours les mêmes,
offerts indéfiniment chaque année,
de mener à la perfection ceux qui viennent y prendre part.
Si ce culte les avait purifiés une fois pour toutes,
ils n’auraient plus aucun péché sur la conscience
et, dans ce cas, n’aurait-on pas cessé d’offrir les sacrifices ?
Mais ceux-ci, au contraire,
comportent chaque année un rappel des péchés.
Il est impossible, en effet,
que du sang de taureaux et de boucs enlève les péchés.
Aussi, en entrant dans le monde,
le Christ dit :
Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande,
mais tu m’as formé un corps.
Tu n’as pas agréé les holocaustes
ni les sacrifices pour le péché ;
alors, j’ai dit :
Me voici,
je suis venu, mon Dieu, pour faire ta volonté,
ainsi qu’il est écrit de moi dans le Livre.
Le Christ commence donc par dire :
Tu n’as pas voulu ni agréé
les sacrifices et les offrandes,
les holocaustes et les sacrifices pour le péché,
ceux que la Loi prescrit d’offrir.
Puis il déclare :
Me voici, je suis venu pour faire ta volonté.
Ainsi, il supprime le premier état de choses pour établir le second.
Et c’est grâce à cette volonté que nous sommes sanctifiés,
par l’offrande que Jésus Christ a faite de son corps,
une fois pour toutes.
— Parole du Seigneur.
Psaume (Ps 39 (40), 2abc. 4ab. 7-8a. 10. 11)
D’un grand espoir, j’espérais le Seigneur :
il s’est penché vers moi.
Dans ma bouche il a mis un chant nouveau,
une louange à notre Dieu.
Tu ne voulais ni offrande ni sacrifice,
tu as ouvert mes oreilles ;
tu ne demandais ni holocauste ni victime,
alors j’ai dit : “Voici, je viens.”
J’annonce la justice
dans la grande assemblée ;
vois, je ne retiens pas mes lèvres,
Seigneur, tu le sais.
Je n’ai pas enfoui ta justice au fond de mon cœur,
je n’ai pas caché ta fidélité, ton salut ;
j’ai dit ton amour et ta vérité
à la grande assemblée.
Alléluia. Alléluia.
Tu es béni, Père, Seigneur du ciel et de la terre,
tu as révélé aux tout-petits les mystères du Royaume !
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 3, 31-35)
En ce temps-là,
comme Jésus était dans une maison,
arrivent sa mère et ses frères.
Restant au-dehors, ils le font appeler.
Une foule était assise autour de lui ;
et on lui dit :
“Voici que ta mère et tes frères sont là dehors :
ils te cherchent.”
Mais il leur répond :
“Qui est ma mère ? qui sont mes frères ?”
Et parcourant du regard
ceux qui étaient assis en cercle autour de lui,
il dit :
“Voici ma mère et mes frères.
Celui qui fait la volonté de Dieu,
celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
À l'issue de sa deuxième Assemblée Générale qui s'est tenue du 15 au 18 octobre 2024, la Commission épiscopale Justice et Paix a adressé un message aux responsables étatiques à tous les niveaux, ainsi qu'à tous les Malagasy et à toutes les personnes de bonne volonté.
Lire la suite...Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.
Lire la suite...Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.
Lire la suite...© 2025 Radio Don Bosco