27 avril 2023 — Jeudi, Troisième semaine du Temps Pascal — Moi, je suis le pain vivant qui est descendu du ciel, dit le Seigneur ; si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 44-51)

26 avril 2023 — Mercredi, Troisième semaine du Temps Pascal — Celui qui voit le Fils et croit en lui a la vie éternelle, dit le Seigneur ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 35-40)

25 avril 2023 — Saint Marc, évangéliste — Fête — Nous proclamons un Messie crucifié, il est puissance de Dieu et sagesse de Dieu — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 16, 15-20)

24 avril 2023 — Lundi, Troisième semaine du Temps Pascal — L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 22-29)

23 avril 2023 — Troisième dimanche du Temps Pascal — Année A — Seigneur Jésus, ouvre-nous les Écritures ! Que notre cœur devienne brûlant tandis que tu nous parles — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 24, 13-35)

Nous avons besoin de paix, qu'elle soit mentale, physique ou spirituelle. Nous devons également nous respecter les uns les autres, en particulier le respect de la discipline à la maison et dans la communauté. Emission "mba ho vanona", sur radio Don Bosco, en collaboration avec le général Désiré Ramakavelo.

Nous Malagasy pouvons nous entraider en consommant des produits locaux, mais ce qui est fabriqué à l'étranger, ne fait que développer les autres. La devise est : « de nombreuses personnes soutenues par de nombreuses personnes ». Émission "mba ho vanona", tenue sur radio Don Bosco, en collaboration avec le général Désiré Ramakavelo.

Il y a une éducation qui peut être faite pour éviter de mentir. Pour éviter les mensonges, encouragez toujours la personne censée mentir à toujours prouver de quoi elle parle. Un mensonge est le contraire de la vérité. Un mensonge est un mot ou une phrase prononcée par la bouche. Emission "promotion féminine" sur la radio Don Bosco.

Première lecture

Livre des Actes des Apôtres (Ac 2, 14a. 36-41)

Dieu l’a fait Seigneur et Christ.

Le jour de la Pentecôte,
Pierre, debout avec les onze autres Apôtres,
éleva la voix et fit cette déclaration :

“Que toute la maison d’Israël le sache donc avec certitude :
Dieu l’a fait Seigneur et Christ,
ce Jésus que vous aviez crucifié.”

Les auditeurs furent touchés au cœur ;
ils dirent à Pierre et aux autres Apôtres :

“Frères, que devons-nous faire ?”

Pierre leur répondit :

“Convertissez-vous,
et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ
pour le pardon de ses péchés ;
vous recevrez alors le don du Saint-Esprit.

Car la promesse est pour vous,
pour vos enfants
et pour tous ceux qui sont loin,
aussi nombreux que le Seigneur notre Dieu les appellera.”

Par bien d’autres paroles encore,
Pierre les adjurait et les exhortait en disant :

“Détournez-vous de cette génération tortueuse,
et vous serez sauvés.”

Alors, ceux qui avaient accueilli la parole de Pierre
furent baptisés.
Ce jour-là, environ trois mille personnes
se joignirent à eux.

— Parole du Seigneur.

Psaume

(Ps 22 (23), 1-2ab. 2c-3. 4. 5. 6)

Le Seigneur est mon berger : rien ne saurait me manquer.

Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.

Deuxième lecture

Première lettre de saint Pierre apôtre (1 P 2, 20b-25)

Vous êtes retournés vers le berger de vos âmes.

Bien-aimés,
si vous supportez la souffrance pour avoir fait le bien,
c’est une grâce aux yeux de Dieu.
C’est bien à cela que vous avez été appelés,
car c’est pour vous que le Christ,
lui aussi, a souffert ;
il vous a laissé un modèle
afin que vous suiviez ses traces.
Lui n’a pas commis de péché ;
dans sa bouche,
on n’a pas trouvé de mensonge.
Insulté, il ne rendait pas l’insulte,
dans la souffrance, il ne menaçait pas,
mais il s’abandonnait
à Celui qui juge avec justice.
Lui-même a porté nos péchés,
dans son corps, sur le bois,
afin que, morts à nos péchés,
nous vivions pour la justice.
Par ses blessures, nous sommes guéris.
Car vous étiez errants
comme des brebis ;
mais à présent vous êtes retournés
vers votre berger, le gardien de vos âmes.

— Parole du Seigneur.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Je suis le bon Pasteur, dit le Seigneur ;
je connais mes brebis
et mes brebis me connaissent.

Alléluia.

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 10, 1-10)

Je suis la porte des brebis.

En ce temps-là, Jésus déclara :

“Amen, amen, je vous le dis :
celui qui entre dans l’enclos des brebis
sans passer par la porte,
mais qui escalade par un autre endroit,
celui-là est un voleur et un bandit.
Celui qui entre par la porte,
c’est le pasteur, le berger des brebis.
Le portier lui ouvre,
et les brebis écoutent sa voix.
Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom,
et il les fait sortir.
Quand il a poussé dehors toutes les siennes,
il marche à leur tête,
et les brebis le suivent,
car elles connaissent sa voix.
Jamais elles ne suivront un étranger,
mais elles s’enfuiront loin de lui,
car elles ne connaissent pas la voix des étrangers.”

Jésus employa cette image pour s’adresser aux pharisiens,
mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait.
C’est pourquoi Jésus reprit la parole :

“Amen, amen, je vous le dis :
Moi, je suis la porte des brebis.
Tous ceux qui sont venus avant moi
sont des voleurs et des bandits ;
mais les brebis ne les ont pas écoutés.
Moi, je suis la porte.
Si quelqu’un entre en passant par moi,
il sera sauvé ;
il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage.
Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr.
Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie,
la vie en abondance.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Livre des Actes des Apôtres (Ac 2, 14. 22b-33)

Il n’était pas possible que la mort le retienne en son pouvoir.

Le jour de la Pentecôte,
Pierre, debout avec les onze autres Apôtres,
éleva la voix et leur fit cette déclaration :

“Vous, Juifs,
et vous tous qui résidez à Jérusalem,
sachez bien ceci,
prêtez l’oreille à mes paroles.
Il s’agit de Jésus le Nazaréen,
homme que Dieu a accrédité auprès de vous
en accomplissant par lui des miracles, des prodiges
et des signes au milieu de vous,
comme vous le savez vous-mêmes.
Cet homme, livré selon le dessein bien arrêté et la prescience de Dieu,
vous l’avez supprimé
en le clouant sur le bois par la main des impies.
Mais Dieu l’a ressuscité
en le délivrant des douleurs de la mort,
car il n’était pas possible qu’elle le retienne en son pouvoir.
En effet, c’est de lui que parle David dans le psaume :
Je voyais le Seigneur devant moi sans relâche :
il est à ma droite, je suis inébranlable.
C’est pourquoi mon cœur est en fête,
et ma langue exulte de joie ;
ma chair elle-même reposera dans l’espérance :
tu ne peux m’abandonner au séjour des morts
ni laisser ton fidèle voir la corruption.
Tu m’as appris des chemins de vie,
tu me rempliras d’allégresse par ta présence.

Frères, il est permis de vous dire avec assurance,
au sujet du patriarche David,
qu’il est mort, qu’il a été enseveli,
et que son tombeau est encore aujourd’hui chez nous.
Comme il était prophète, il savait que Dieu lui avait juré
de faire asseoir sur son trône un homme issu de lui.
Il a vu d’avance la résurrection du Christ,
dont il a parlé ainsi :
Il n’a pas été abandonné à la mort,
et sa chair n’a pas vu la corruption.
Ce Jésus, Dieu l’a ressuscité ;
nous tous, nous en sommes témoins.
Élevé par la droite de Dieu,
il a reçu du Père l’Esprit Saint qui était promis,
et il l'a répandu sur nous,
ainsi que vous le voyez et l’entendez.”

— Parole du Seigneur.

Psaume

(Ps 15 (16), 1-2a. 5. 7-8. 9-10. 11)

Tu m’apprends, Seigneur, le chemin de la vie.

Garde-moi, mon Dieu : j’ai fait de toi mon refuge.
J’ai dit au Seigneur : “Tu es mon Dieu !
Seigneur, mon partage et ma coupe :
de toi dépend mon sort.”

Je bénis le Seigneur qui me conseille :
même la nuit mon cœur m’avertit.
Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ;
il est à ma droite : je suis inébranlable.

Mon cœur exulte, mon âme est en fête,
ma chair elle-même repose en confiance :
tu ne peux m’abandonner à la mort
ni laisser ton ami voir la corruption.

Tu m’apprends le chemin de la vie :
devant ta face, débordement de joie !
À ta droite, éternité de délices !

Deuxième lecture

Première lettre de saint Pierre apôtre (1 P 1, 17-21)

Vous avez été rachetés par un sang précieux, celui d’un agneau sans tache, le Christ.

Bien-aimés,
si vous invoquez comme Père
celui qui juge impartialement chacun selon son œuvre,
vivez donc dans la crainte de Dieu,
pendant le temps où vous résidez ici-bas en étrangers.
Vous le savez :
ce n’est pas par des biens corruptibles, l’argent ou l’or,
que vous avez été rachetés de la conduite superficielle héritée de vos pères ;
mais c’est par un sang précieux,
celui d’un agneau sans défaut et sans tache, le Christ.
Dès avant la fondation du monde, Dieu l’avait désigné d’avance
et il l’a manifesté à la fin des temps à cause de vous.
C’est bien par lui que vous croyez en Dieu,
qui l’a ressuscité d’entre les morts
et qui lui a donné la gloire ;
ainsi vous mettez votre foi et votre espérance en Dieu.

— Parole du Seigneur.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Seigneur Jésus, ouvre-nous les Écritures !
Que notre cœur devienne brûlant
tandis que tu nous parles.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 24, 13-35)

Il se fit reconnaître par eux à la fraction du pain.

Le même jour (c’est-à-dire le premier jour de la semaine),
deux disciples faisaient route
vers un village appelé Emmaüs,
à deux heures de marche de Jérusalem,
et ils parlaient entre eux de tout ce qui s’était passé.

Or, tandis qu’ils s’entretenaient et s’interrogeaient,
Jésus lui-même s’approcha,
et il marchait avec eux.
Mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
Jésus leur dit :

“De quoi discutez-vous en marchant ?”

Alors, ils s’arrêtèrent, tout tristes.
L’un des deux, nommé Cléophas, lui répondit :

“Tu es bien le seul étranger résidant à Jérusalem
qui ignore les événements de ces jours-ci.”

Il leur dit :

“Quels événements ?”

Ils lui répondirent :

“Ce qui est arrivé à Jésus de Nazareth,
cet homme qui était un prophète
puissant par ses actes et ses paroles
devant Dieu et devant tout le peuple :
comment les grands prêtres et nos chefs l’ont livré,
ils l’ont fait condamner à mort et ils l’ont crucifié.
Nous, nous espérions que c’était lui qui allait délivrer Israël.
Mais avec tout cela,
voici déjà le troisième jour qui passe depuis que c’est arrivé.
À vrai dire, des femmes de notre groupe
nous ont remplis de stupeur.
Quand, dès l’aurore, elles sont allées au tombeau,
elles n’ont pas trouvé son corps ;
elles sont venues nous dire
qu’elles avaient même eu une vision :
des anges, qui disaient qu’il est vivant.
Quelques-uns de nos compagnons sont allés au tombeau,
et ils ont trouvé les choses comme les femmes l’avaient dit ;
mais lui, ils ne l’ont pas vu.”

Il leur dit alors :

“Esprits sans intelligence ! Comme votre cœur est lent à croire
tout ce que les prophètes ont dit !
Ne fallait-il pas que le Christ
souffrît cela pour entrer dans sa gloire ?”

Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes,
il leur interpréta, dans toute l’Écriture,
ce qui le concernait.

Quand ils approchèrent du village où ils se rendaient,
Jésus fit semblant d’aller plus loin.
Mais ils s’efforcèrent de le retenir :

“Reste avec nous,
car le soir approche et déjà le jour baisse.”

Il entra donc pour rester avec eux.

Quand il fut à table avec eux,
ayant pris le pain,
il prononça la bénédiction
et, l’ayant rompu,
il le leur donna.
Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent,
mais il disparut à leurs regards.
Ils se dirent l’un à l’autre :

“Notre cœur n’était-il pas brûlant en nous,
tandis qu’il nous parlait sur la route
et nous ouvrait les Écritures ?”

À l’instant même, ils se levèrent et retournèrent à Jérusalem.
Ils y trouvèrent réunis les onze Apôtres et leurs compagnons,
qui leur dirent :

“Le Seigneur est réellement ressuscité :
il est apparu à Simon-Pierre.”

À leur tour, ils racontaient ce qui s’était passé sur la route,
et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux
à la fraction du pain.

— Acclamons la Parole de Dieu.

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