Les chrétiens, les enfants, les jeunes et les adultes ont le devoir de protéger et de servir le pays, car le travail de production et l’augmentation de l’épargne et du PIB sont la seule manière de nous développer et de développer le Royaume de Dieu. Le pays a besoin de stabilité pour pouvoir produire et s’entraider dans l’unité. L'évasion fiscale et la corruption, l'abus de pouvoir, l'égoïsme, l'instabilité, le non-paiement des aides sociales depuis 1975, le mépris du bien commun et de la propriété commune sont à la base de la destruction de notre nation.
27 novembre 2023 — Lundi, Trente-quatrième Semaine du Temps Ordinaire — Veillez, tenez-vous prêts : c’est à l’heure où vous n’y pensez pas que le Fils de l’homme viendra — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 21, 1-4)
Livre du prophète Daniel (Dn 1, 1-6. 8-20)
La troisième année du règne de Joakim, roi de Juda,
Nabucodonosor, roi de Babylone,
arriva devant Jérusalem et l’assiégea.
Le Seigneur livra entre ses mains Joakim, roi de Juda,
ainsi qu’une partie des objets de la maison de Dieu.
Il les emporta au pays de Babylone,
et les déposa dans le trésor de ses dieux.
Le roi ordonna à Ashpénaz, chef de ses eunuques,
de faire venir quelques jeunes Israélites
de race royale ou de famille noble.
Ils devaient être sans défaut corporel, de belle figure,
exercés à la sagesse, instruits et intelligents, pleins de vigueur,
pour se tenir à la cour du roi
et apprendre l’écriture et la langue des Chaldéens.
Le roi leur assignait pour chaque jour
une portion des mets royaux
et du vin de sa table.
Ils devaient être formés pendant trois ans,
et ensuite ils entreraient au service du roi.
Parmi eux se trouvaient Daniel, Ananias, Misaël et Azarias,
qui étaient de la tribu de Juda.
Daniel eut à cœur de ne pas se souiller
avec les mets du roi et le vin de sa table,
il supplia le chef des eunuques
de lui épargner cette souillure.
Dieu permit à Daniel de trouver auprès de celui-ci
faveur et bienveillance.
Mais il répondit à Daniel :
“J’ai peur de mon Seigneur le roi,
qui a fixé votre nourriture et votre boisson ;
s’il vous voit le visage plus défait
qu’aux jeunes gens de votre âge,
c’est moi qui, à cause de vous,
risquerai ma tête devant le roi.”
Or, le chef des eunuques avait confié
Daniel, Ananias, Azarias et Misaël à un intendant.
Daniel lui dit :
“Fais donc pendant dix jours un essai avec tes serviteurs :
qu’on nous donne des légumes à manger et de l’eau à boire.
Tu pourras comparer notre mine
avec celle des jeunes gens qui mangent les mets du roi,
et tu agiras avec tes serviteurs
suivant ce que tu auras constaté.”
L’intendant consentit à leur demande,
et les mit à l’essai pendant dix jours.
Au bout de dix jours, ils avaient plus belle mine et meilleure santé
que tous les jeunes gens qui mangeaient des mets du roi.
L’intendant supprima définitivement
leurs mets et leur ration de vin,
et leur fit donner des légumes.
À ces quatre jeunes gens, Dieu accorda science et habileté
en matière d’écriture et de sagesse.
Daniel, en outre, savait interpréter les visions et les songes.
Au terme fixé par le roi Nabucodonosor
pour qu’on lui amenât tous les jeunes gens,
le chef des eunuques les conduisit devant lui.
Le roi s’entretint avec eux,
et pas un seul n’était comparable
à Daniel, Ananias, Misaël et Azarias.
Ils entrèrent donc au service du roi.
Sur toutes les questions demandant sagesse et intelligence
que le roi leur posait,
il les trouvait dix fois supérieurs
à tous les magiciens et mages de tout son royaume.
— Parole du Seigneur.
Dn 3, 52. 53. 54. 55. 56
Béni sois-tu, Seigneur, Dieu de nos pères :
À toi, louange et gloire éternellement !
Béni soit le nom très saint de ta gloire :
À toi, louange et gloire éternellement !
Béni sois-tu dans ton saint temple de gloire :
À toi, louange et gloire éternellement !
Béni sois-tu sur le trône de ton règne :
À toi, louange et gloire éternellement !
Béni sois-tu, toi qui sondes les abîmes :
À toi, louange et gloire éternellement !
Toi qui sièges au-dessus des Kéroubim :
À toi, louange et gloire éternellement !
Béni sois-tu au firmament, dans le ciel :
À toi, louange et gloire éternellement !
Alléluia. Alléluia.
Veillez, tenez-vous prêts : c’est à l’heure où vous n’y pensez pas que le Fils de l’homme viendra.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 21, 1-4)
En ce temps-là,
comme Jésus enseignait dans le Temple,
levant les yeux, il vit les gens riches
qui mettaient leurs offrandes dans le Trésor.
Il vit aussi une veuve misérable
y mettre deux petites pièces de monnaie.
Alors il déclara :
“En vérité, je vous le dis :
cette pauvre veuve a mis plus que tous les autres.
Car tous ceux-là, pour faire leur offrande,
ont pris sur leur superflu
mais elle, elle a pris sur son indigence :
elle a mis tout ce qu’elle avait pour vivre.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Parmi ces quatre éléments, le Concile souligne le rôle particulier de la préservation du bien commun, qui est au premier plan de l'objectif de la vie publique. Le bien commun est une combinaison de modes de vie publique dans lesquels les individus, les familles et les groupes peuvent se développer de manière plus complète et plus flexible. La famille politique vise le bien commun. Catéchèse sur l'Église, la famille et la politique, en collaboration avec le P. Abdon Rafidison.
26 novembre 2023 — Dimanche, Notre Seigneur Jésus-Christ Roi de l'Univers — Solennité — Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni soit le Règne qui vient, celui de David notre père — Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (Mt 25, 31-46)
Livre du prophète Ézékiel (Ez 34, 11-12. 15-17)
Ainsi parle le Seigneur Dieu :
Voici que moi-même, je m’occuperai de mes brebis,
et je veillerai sur elles.
Comme un berger veille sur les brebis de son troupeau
quand elles sont dispersées,
ainsi je veillerai sur mes brebis,
et j’irai les délivrer dans tous les endroits où elles ont été dispersées
un jour de nuages et de sombres nuées.
C’est moi qui ferai paître mon troupeau,
et c’est moi qui le ferai reposer,
— oracle du Seigneur Dieu.
La brebis perdue, je la chercherai ;
l’égarée, je la ramènerai.
Celle qui est blessée, je la panserai.
Celle qui est malade, je lui rendrai des forces.
Celle qui est grasse et vigoureuse,
je la garderai, je la ferai paître selon le droit.
Et toi, mon troupeau
— ainsi parle le Seigneur Dieu —,
voici que je vais juger entre brebis et brebis,
entre les béliers et les boucs.
— Parole du Seigneur.
Ps 22 (23), 1-2ab. 2c-3. 4. 5. 6
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.
Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
Première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (1 Co 15, 20-26. 28)
Frères,
le Christ est ressuscité d’entre les morts,
lui, premier ressuscité parmi ceux qui se sont endormis.
Car, la mort étant venue par un homme,
c’est par un homme aussi que vient la résurrection des morts.
En effet, de même que tous les hommes
meurent en Adam,
de même c’est dans le Christ
que tous recevront la vie,
mais chacun à son rang :
en premier, le Christ,
et ensuite, lors du retour du Christ,
ceux qui lui appartiennent.
Alors, tout sera achevé,
quand le Christ remettra le pouvoir royal à Dieu son Père,
après avoir anéanti, parmi les êtres célestes,
toute Principauté, toute Souveraineté et Puissance.
Car c’est lui qui doit régner
jusqu’au jour où Dieu aura mis sous ses pieds tous ses ennemis.
Et le dernier ennemi qui sera anéanti,
c’est la mort.
Et, quand tout sera mis sous le pouvoir du Fils,
lui-même se mettra alors sous le pouvoir du Père
qui lui aura tout soumis,
et ainsi, Dieu sera tout en tous.
— Parole du Seigneur.
Alléluia. Alléluia.
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni soit le Règne qui vient, celui de David notre père.
Alléluia.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu (Mt 25, 31-46)
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
“Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire,
et tous les anges avec lui,
alors il siégera sur son trône de gloire.
Toutes les nations seront rassemblées devant lui ;
il séparera les hommes les uns des autres,
comme le berger sépare les brebis des boucs :
il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite :
‘Venez, les bénis de mon Père,
recevez en héritage le Royaume
préparé pour vous depuis la fondation du monde.
Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ;
j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ;
j’étais nu, et vous m’avez habillé ;
j’étais malade, et vous m’avez visité ;
j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !’Alors les justes lui répondront :
‘Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu...?
tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ?
tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ?
tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ?
tu étais nu, et nous t’avons habillé ?
tu étais malade ou en prison...
Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?’Et le Roi leur répondra :
‘Amen, je vous le dis :
chaque fois que vous l’avez fait
à l’un de ces plus petits de mes frères,
c’est à moi que vous l’avez fait.’Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche :
‘Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits,
dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.
Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ;
j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ;
j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ;
j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ;
j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.’Alors ils répondront, eux aussi :
‘Seigneur, quand t’avons-nous vu
avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison,
sans nous mettre à ton service ?’Il leur répondra :
‘Amen, je vous le dis :
chaque fois que vous ne l’avez pas fait
à l’un de ces plus petits,
c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.’Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel,
et les justes, à la vie éternelle.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
L'ordre doit être connu, dans le travail médical et les bénéfices qui en découlent, en termes de santé publique. De nombreux problèmes perturbent aujourd’hui la profession médicale et la santé publique. C'est pourquoi nous parlerons aujourd'hui du sens de l'ordre, de sa responsabilité et ses rôles. La santé est précieuse, alors allons au centre de santé et à ceux qui se sont spécialisés en médecine lorsqu'il y a un cas de mauvaise santé...
Le Concile du Vatican recommande les quatre éléments pour établir une vie politique vraiment digne de l'humanité, en disant : il est très important de développer les idées profondes de vérité, de bonté, de dévouement pour servir le bien commun et de renforcer le principe de la vie publique et l'objectif. Catéchèse sur l'Église, la famille et la politique, en collaboration avec le P. Abdon Rafidison.
M. Ranaivoarison Basile ou Papa Bio a obtenu de bons résultats dans ses recherches sur le lombricompost. Les productions issus de l'élevage de vers ou de la production lambricompost se sont améliorés, et surtout la récolte résultats de l'utilisation de lambricompost...
Le réseau FARMADA a mis en place un Label Soa Far pour ses Centres de Formation affiliés. Il y a 13 centres qui l’ont reçu. Le Réseau FARMADA a apporté une contribution significative à l'amélioration de la qualité de la formation offerte aux jeunes et aux agriculteurs pour améliorer la production agricole et les zones rurales de notre pays. Le Label Soa Far est une marque utilisée pour distinguer les centres de formation qui améliorent et innovent leurs systèmes...
25 novembre 2023 — Samedi, Trente-troisième Semaine du Temps Ordinaire — Notre Sauveur, le Christ Jésus, a détruit la mort ; il a fait resplendir la vie par l’Évangile — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 20, 27-40)
Premier livre des Martyrs d’Israël (1 M 6, 1-13)
En ces jours-là,
le roi Antiocos parcourait le haut pays.
Il apprit alors qu’il y avait en Perse une ville, Élymaïs,
fameuse par ses richesses, son argent et son or ;
son temple, extrêmement riche, contenait des casques en or,
des cuirasses et des armes,
laissés là par Alexandre, fils de Philippe et roi de Macédoine,
qui régna le premier sur les Grecs.
Antiocos arriva,
et il tenta de prendre la ville et de la piller,
mais il n’y réussit pas,
parce que les habitants avaient été informés de son projet.
Ils lui résistèrent et livrèrent bataille,
si bien qu’il prit la fuite et battit en retraite, accablé de chagrin,
pour retourner à Babylone.
Il était encore en Perse quand on vint lui annoncer
la déroute des troupes qui avaient pénétré en Judée ;
Lysias, en particulier,
qui avait été envoyé avec un important matériel,
avait fait demi-tour devant les Juifs ;
ceux-ci s’étaient renforcés
grâce aux armes, au matériel et au butin
saisis sur les troupes qu’ils avaient battues ;
ils avaient renversé l’Abomination
qu’Antiocos avait élevée à Jérusalem sur l’autel ;
enfin, ils avaient reconstruit comme auparavant
de hautes murailles autour du sanctuaire
et autour de la ville royale de Bethsour.
Quand le roi apprit ces nouvelles,
il fut saisi de frayeur et profondément ébranlé.
Il s’écroula sur son lit
et tomba malade sous le coup du chagrin,
parce que les événements n’avaient pas répondu à son attente.
Il resta ainsi pendant plusieurs jours,
car son profond chagrin se renouvelait sans cesse.
Lorsqu’il se rendit compte qu’il allait mourir,
il appela tous ses amis et leur dit :
“Le sommeil s’est éloigné de mes yeux ;
l’inquiétude accable mon cœur,
et je me dis :
À quelle profonde détresse en suis-je arrivé ?
Dans quel abîme suis-je plongé maintenant ?
J’étais bon et aimé au temps de ma puissance.
Mais maintenant je me rappelle
le mal que j’ai fait à Jérusalem :
tous les objets d’argent et d’or qui s’y trouvaient,
je les ai pris ;
j’ai fait exterminer les habitants de la Judée
sans aucun motif.
Je reconnais que tous mes malheurs viennent de là,
et voici que je meurs dans un profond chagrin
sur une terre étrangère.”
— Parole du Seigneur.
Ps 9a, 2-3. 4. 6. 16. 19
De tout mon cœur, Seigneur, je rendrai grâce,
je dirai tes innombrables merveilles ;
pour toi, j’exulterai, je danserai,
je fêterai ton nom, Dieu Très-Haut.
Mes ennemis ont battu en retraite,
devant ta face, ils s’écroulent et périssent.
Tu menaces les nations, tu fais périr les méchants,
à tout jamais tu effaces leur nom.
Ils sont tombés, les païens, dans la fosse qu’ils creusaient ;
aux filets qu’ils ont tendus, leurs pieds se sont pris.
Mais le pauvre n’est pas oublié pour toujours :
jamais ne périt l’espoir des malheureux.
Alléluia. Alléluia.
Notre Sauveur, le Christ Jésus, a détruit la mort ; il a fait resplendir la vie par l’Évangile.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 20, 27-40)
En ce temps-là,
quelques sadducéens
— ceux qui soutiennent qu’il n’y a pas de résurrection —
s’approchèrent de Jésus
et l’interrogèrent :
“Maître, Moïse nous a prescrit :
Si un homme a un frère
qui meurt en laissant une épouse mais pas d’enfant,
il doit épouser la veuve
pour susciter une descendance à son frère.
Or, il y avait sept frères :
le premier se maria et mourut sans enfant ;
de même le deuxième, puis le troisième épousèrent la veuve,
et ainsi tous les sept :
ils moururent sans laisser d’enfants.
Finalement la femme mourut aussi.
Eh bien, à la résurrection,
cette femme-là, duquel d’entre eux sera-t-elle l’épouse,
puisque les sept l’ont eue pour épouse ?”
Jésus leur répondit :
“Les enfants de ce monde prennent femme et mari.
Mais ceux qui ont été jugés dignes
d’avoir part au monde à venir
et à la résurrection d’entre les morts
ne prennent ni femme ni mari,
car ils ne peuvent plus mourir :
ils sont semblables aux anges,
ils sont enfants de Dieu
et enfants de la résurrection.
Que les morts ressuscitent,
Moïse lui-même le fait comprendre
dans le récit du buisson ardent,
quand il appelle le Seigneur
le Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob.
Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants.
Tous, en effet, vivent pour lui.”
Alors certains scribes prirent la parole pour dire :
“Maître, tu as bien parlé.”
Et ils n’osaient plus l’interroger sur quoi que ce soit.
— Acclamons la Parole de Dieu.
À l'issue de sa deuxième Assemblée Générale qui s'est tenue du 15 au 18 octobre 2024, la Commission épiscopale Justice et Paix a adressé un message aux responsables étatiques à tous les niveaux, ainsi qu'à tous les Malagasy et à toutes les personnes de bonne volonté.
Lire la suite...Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.
Lire la suite...Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.
Lire la suite...© 2025 Radio Don Bosco