Jeudi 14 avril 2022 — Jeudi Saint. La dernière Cène — Je vous donne un commandement nouveau, dit le Seigneur : "Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés." — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 13, 1-15
Mercredi 13 avril 2022 — Mercredi Saint — Salut, ô Christ notre Roi : obéissant au Père, comme l’agneau vers l’abattoir tu te laisses conduire à la croix — Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 26, 14-25
Il prépare les jeunes à devenir responsables dans diverses organisations paysannes à travers l'île, dont certaines sont regroupées dans le réseau Syndicat des Organisations Agricoles ou le réseau « SOA ». Il sera également préparé, pour succéder aux cadres dirigeants actuels.
Il y a de nombreux défis auxquels nous sommes confrontés avec «l'énergie» et la préservation ou la conservation de l'environnement. Une des premières solutions est de connaître le besoin et le taux d'énergie consommée dans le logement afin de le gérer. L'une des solutions proposées dans l'émission était également l'utilisation de charbon de bois dérivé du « bambou ». Il présente de nombreux avantages : il émet peu de carbone, il chauffe rapidement et fait gagner du temps, il est non polluant et il est peu coûteux.
La famille est composée de conjoints et d'enfants, ou un groupe de personnes unies par le genre de liens qui existent, au sein d'une communauté. Mais dans quelle mesure donnons-nous une place à la famille dans chacune de nos vies, et quelle attitude adopter lorsqu'on vit au sein de la famille. L'indépendance et le développement sont naturels pour chaque personne, lorsqu'elle est séparée de ses parents. Le rôle de la famille doit évoluer en fonction de la réalité : élever, éduquer, et quand les enfants grandissent pour devenir autonomes, ils se guident, se conseillent. Chacun doit s'entraîner à se comporter « de manière indépendante » afin de se développer mutuellement.
Mardi 12 avril 2022 — Mardi Saint — Salut, ô Christ, notre Roi : obéissant au Père ; comme l’agneau vers l’abattoir, tu te laisses conduire à la croix — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 13, 21-33. 36-38
Lundi 11 avril 2022 — Lundi Saint — Salut, ô Christ, notre Roi : toi seul as pris en pitié nos égarements — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 12, 1-11
Dimanche 10 avril 2022 — Dimanche des Rameaux et de la Passion du Seigneur — Pour nous, le Christ est devenu obéissant, jusqu’à la mort, et la mort de la croix. C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 23, 1-49
(Indications pour la lecture dialoguée : Les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants : X = Jésus ; L = Lecteur ; D = Disciples et amis ; F = Foule ; A = Autres personnages.)
En ce temps-là,
L. L’assemblée tout entière se leva,
et on l’emmena chez Pilate.
On se mit alors à l’accuser :
F. "Nous avons trouvé cet homme
en train de semer le trouble dans notre nation :
il empêche de payer l’impôt à l’empereur,
et il dit qu’il est le Christ, le Roi."
L. Pilate l’interrogea :
A. "Es-tu le roi des Juifs ?"
L. Jésus répondit :
X. "C’est toi-même qui le dis."
L. Pilate s’adressa aux grands prêtres et aux foules :
A. "Je ne trouve chez cet homme
aucun motif de condamnation."
L. Mais ils insistaient avec force :
F. "Il soulève le peuple
en enseignant dans toute la Judée ;
après avoir commencé en Galilée, il est venu jusqu’ici."
L. À ces mots, Pilate demanda si l’homme était Galiléen.
Apprenant qu’il relevait de l’autorité d’Hérode,
il le renvoya devant ce dernier,
qui se trouvait lui aussi à Jérusalem en ces jours-là.
À la vue de Jésus,
Hérode éprouva une joie extrême :
en effet, depuis longtemps il désirait le voir
à cause de ce qu’il entendait dire de lui,
et il espérait lui voir faire un miracle.
Il lui posa bon nombre de questions,
mais Jésus ne lui répondit rien.
Les grands prêtres et les scribes étaient là,
et ils l’accusaient avec véhémence.
Hérode, ainsi que ses soldats,
le traita avec mépris et se moqua de lui :
il le revêtit d’un manteau de couleur éclatante
et le renvoya à Pilate.
Ce jour-là, Hérode et Pilate devinrent des amis,
alors qu’auparavant il y avait de l’hostilité entre eux.
Alors Pilate convoqua
les grands prêtres, les chefs et le peuple.
Il leur dit :
A. "Vous m’avez amené cet homme
en l’accusant d’introduire la subversion dans le peuple.
Or, j’ai moi-même instruit l’affaire devant vous
et, parmi les faits dont vous l’accusez,
je n’ai trouvé chez cet homme aucun motif de condamnation.
D’ailleurs, Hérode non plus,
puisqu’il nous l’a renvoyé.
En somme, cet homme n’a rien fait qui mérite la mort.
Je vais donc le relâcher
après lui avoir fait donner une correction."
L. Ils se mirent à crier tous ensemble :
F. "Mort à cet homme !
Relâche-nous Barabbas."
L. Ce Barabbas avait été jeté en prison
pour une émeute survenue dans la ville, et pour meurtre.
Pilate, dans son désir de relâcher Jésus,
leur adressa de nouveau la parole.
Mais ils vociféraient :
F. "Crucifie-le ! Crucifie-le !"
L. Pour la troisième fois, il leur dit :
A. "Quel mal a donc fait cet homme ?
Je n’ai trouvé en lui
aucun motif de condamnation à mort.
Je vais donc le relâcher
après lui avoir fait donner une correction."
L. Mais ils insistaient à grands cris,
réclamant qu’il soit crucifié ;
et leurs cris s’amplifiaient.
Alors Pilate décida de satisfaire leur requête.
Il relâcha celui qu’ils réclamaient,
le prisonnier condamné pour émeute et pour meurtre,
et il livra Jésus à leur bon plaisir.
L. Comme ils l’emmenaient,
ils prirent un certain Simon de Cyrène,
qui revenait des champs,
et ils le chargèrent de la croix
pour qu’il la porte derrière Jésus.
Le peuple, en grande foule, le suivait,
ainsi que des femmes
qui se frappaient la poitrine
et se lamentaient sur Jésus.
Il se retourna et leur dit :
X. "Filles de Jérusalem,
ne pleurez pas sur moi !
Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants !
Voici venir des jours où l’on dira :
‘Heureuses les femmes stériles,
celles qui n’ont pas enfanté,
celles qui n’ont pas allaité !’
Alors on dira aux montagnes :
‘Tombez sur nous’,
et aux collines :
‘Cachez-nous.’
Car si l’on traite ainsi l’arbre vert,
que deviendra l’arbre sec ?"
L. Ils emmenaient aussi avec Jésus
deux autres, des malfaiteurs, pour les exécuter.
Lorsqu’ils furent arrivés au lieu dit : Le Crâne (ou Calvaire),
là ils crucifièrent Jésus,
avec les deux malfaiteurs,
l’un à droite et l’autre à gauche.
Jésus disait :
X. "Père, pardonne-leur :
ils ne savent pas ce qu’ils font."
L. Puis, ils partagèrent ses vêtements
et les tirèrent au sort.
Le peuple restait là à observer.
Les chefs tournaient Jésus en dérision et disaient :
F. "Il en a sauvé d’autres :
qu’il se sauve lui-même,
s’il est le Messie de Dieu, l’Élu !"
L. Les soldats aussi se moquaient de lui ;
s’approchant, ils lui présentaient de la boisson vinaigrée,
en disant :
F. "Si tu es le roi des Juifs,
sauve-toi toi-même !"
L. Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui :
"Celui-ci est le roi des Juifs."
L’un des malfaiteurs suspendus en croix l’injuriait :
A. "N’es-tu pas le Christ ?
Sauve-toi toi-même, et nous aussi !"
L. Mais l’autre lui fit de vifs reproches :
A. "Tu ne crains donc pas Dieu !
Tu es pourtant un condamné, toi aussi !
Et puis, pour nous, c’est juste :
après ce que nous avons fait,
nous avons ce que nous méritons.
Mais lui, il n’a rien fait de mal."
L. Et il disait :
A. "Jésus, souviens-toi de moi
quand tu viendras dans ton Royaume."
L. Jésus lui déclara :
X. "Amen, je te le dis :
aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis."
L. C’était déjà environ la sixième heure (c’est-à-dire : midi) ;
l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure,
car le soleil s’était caché.
Le rideau du Sanctuaire se déchira par le milieu.
Alors, Jésus poussa un grand cri :
X. "Père, entre tes mains je remets mon esprit."
L. Et après avoir dit cela, il expira.
(Ici on fléchit le genou et on s’arrête un instant)
À la vue de ce qui s’était passé,
le centurion rendit gloire à Dieu :
A. "Celui-ci était réellement un homme juste."
L. Et toute la foule des gens qui s’étaient rassemblés pour ce spectacle,
observant ce qui se passait,
s’en retournaient en se frappant la poitrine.
Tous ses amis,
ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la Galilée,
se tenaient plus loin pour regarder.
Le soir venu,
les disciples de Jésus descendirent jusqu’à la mer.
Ils s’embarquèrent pour gagner Capharnaüm,
sur l’autre rive.
C’était déjà les ténèbres,
et Jésus n’avait pas encore rejoint les disciples.
Un grand vent soufflait, et la mer était agitée.
Les disciples avaient ramé sur une distance de vingt-cinq ou trente stades
(c’est-à-dire environ cinq mille mètres),
lorsqu’ils virent Jésus
qui marchait sur la mer et se rapprochait de la barque.
Alors, ils furent saisis de peur.
Mais il leur dit :
"C’est moi. N’ayez plus peur."
Les disciples voulaient le prendre dans la barque ;
aussitôt, la barque toucha terre
là où ils se rendaient.
Le premier jour de la semaine,
à la pointe de l’aurore,
les femmes se rendirent au tombeau,
portant les aromates qu’elles avaient préparés.
Elles trouvèrent la pierre roulée sur le côté du tombeau.
Elles entrèrent,
mais ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus.
Alors qu’elles étaient désemparées,
voici que deux hommes se tinrent devant elles
en habit éblouissant.
Saisies de crainte,
elles gardaient leur visage incliné vers le sol.
Ils leur dirent :
"Pourquoi cherchez-vous le Vivant
parmi les morts ?
Il n’est pas ici,
il est ressuscité.
Rappelez-vous ce qu’il vous a dit
quand il était encore en Galilée :
‘Il faut que le Fils de l’homme
soit livré aux mains des pécheurs,
qu’il soit crucifié
et que, le troisième jour, il ressuscite.’"
Alors elles se rappelèrent les paroles qu’il avait dites.
Revenues du tombeau,
elles rapportèrent tout cela aux Onze et à tous les autres.
C’étaient Marie Madeleine, Jeanne,
et Marie mère de Jacques ;
les autres femmes qui les accompagnaient
disaient la même chose aux Apôtres.
Mais ces propos leur semblèrent délirants,
et ils ne les croyaient pas.
Alors Pierre se leva et courut au tombeau ;
mais en se penchant,
il vit les linges, et eux seuls.
Il s’en retourna chez lui,
tout étonné de ce qui était arrivé.
En ce temps-là,
au cours du repas que Jésus prenait avec ses disciples,
il fut bouleversé en son esprit,
et il rendit ce témoignage :
"Amen, amen, je vous le dis :
l’un de vous me livrera."
Les disciples se regardaient les uns les autres avec embarras,
ne sachant pas de qui Jésus parlait.
Il y avait à table, appuyé contre Jésus,
l’un de ses disciples, celui que Jésus aimait.
Simon-Pierre lui fait signe de demander à Jésus
de qui il veut parler.
Le disciple se penche donc sur la poitrine de Jésus
et lui dit :
"Seigneur, qui est-ce ?"
Jésus lui répond :
"C’est celui à qui je donnerai la bouchée
que je vais tremper dans le plat."
Il trempe la bouchée,
et la donne à Judas, fils de Simon l’Iscariote.
Et, quand Judas eut pris la bouchée,
Satan entra en lui.
Jésus lui dit alors :
"Ce que tu fais, fais-le vite."
Mais aucun des convives ne comprit
pourquoi il lui avait dit cela.
Comme Judas tenait la bourse commune,
certains pensèrent que Jésus voulait lui dire
d’acheter ce qu’il fallait pour la fête,
ou de donner quelque chose aux pauvres.
Judas prit donc la bouchée, et sortit aussitôt.
Or il faisait nuit.
Quand il fut sorti, Jésus déclara :
"Maintenant le Fils de l’homme est glorifié,
et Dieu est glorifié en lui.
Si Dieu est glorifié en lui,
Dieu aussi le glorifiera ;
et il le glorifiera bientôt.
Petits enfants,
c’est pour peu de temps encore
que je suis avec vous.
Vous me chercherez,
et, comme je l’ai dit aux Juifs :
“Là où je vais,
vous ne pouvez pas aller”,
je vous le dis maintenant à vous aussi."
Simon-Pierre lui dit :
"Seigneur, où vas-tu ?"
Jésus lui répondit :
"Là où je vais,
tu ne peux pas me suivre maintenant ;
tu me suivras plus tard."
Pierre lui dit :
"Seigneur, pourquoi ne puis-je pas te suivre à présent ?
Je donnerai ma vie pour toi !"
Jésus réplique :
"Tu donneras ta vie pour moi ?
Amen, amen, je te le dis :
le coq ne chantera pas
avant que tu m’aies renié trois fois."
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