11 juin 2023 — Dimanche, Saint Sacrement — Solennité — Année A — Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel, dit le Seigneur ; si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 51-58)
Deuxième lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (2 Co 3, 15 — 4, 1. 3-6)
Frères,
aujourd’hui encore,
quand les fils d’Israël lisent les livres de Moïse,
un voile couvre leur cœur.
Quand on se convertit au Seigneur,
le voile est enlevé.
Or, le Seigneur, c’est l’Esprit,
et là où l’Esprit du Seigneur est présent,
là est la liberté.
Et nous tous
qui n’avons pas de voile sur le visage,
nous reflétons la gloire du Seigneur,
et nous sommes transformés en son image
avec une gloire de plus en plus grande,
par l’action du Seigneur qui est Esprit.
C’est pourquoi, ayant reçu ce ministère par la miséricorde de Dieu,
nous ne perdons pas courage.
Et même si l’Évangile que nous annonçons reste voilé,
il n’est voilé que pour ceux qui vont à leur perte,
pour les incrédules dont l’intelligence a été aveuglée
par le dieu mauvais de ce monde ;
celui-ci les empêche de voir clairement, dans la splendeur de l’Évangile,
la gloire du Christ, lui qui est l’image de Dieu.
En effet, ce que nous proclamons,
ce n’est pas nous-mêmes ;
c’est ceci : Jésus Christ est le Seigneur ;
et nous sommes vos serviteurs, à cause de Jésus.
Car Dieu qui a dit :
Du milieu des ténèbres brillera la lumière,
a lui-même brillé dans nos cœurs
pour faire resplendir la connaissance de sa gloire
qui rayonne sur le visage du Christ.
— Parole du Seigneur.
84 (85), 9ab. 10. 11-12. 13-14
J’écoute : que dira le Seigneur Dieu ?
Ce qu’il dit, c’est la paix pour son peuple et ses fidèles.
Son salut est proche de ceux qui le craignent,
et la gloire habitera notre terre.
Amour et vérité se rencontrent,
justice et paix s’embrassent ;
la vérité germera de la terre
et du ciel se penchera la justice.
Le Seigneur donnera ses bienfaits,
et notre terre donnera son fruit.
La justice marchera devant lui,
et ses pas traceront le chemin.
Alléluia. Alléluia.
Je vous donne un commandement nouveau, dit le Seigneur :
“Aimez- vous les uns les autres, comme je vous ai aimés.”
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 20-26)
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
“Je vous le dis :
Si votre justice ne surpasse pas celle des scribes et des pharisiens,
vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux.Vous avez appris qu’il a été dit aux anciens :
Tu ne commettras pas de meurtre,
et si quelqu’un commet un meurtre,
il devra passer en jugement.
Eh bien ! moi, je vous dis :
Tout homme qui se met en colère contre son frère
devra passer en jugement.
Si quelqu’un insulte son frère,
il devra passer devant le tribunal.
Si quelqu’un le traite de fou,
il sera passible de la géhenne de feu.
Donc, lorsque tu vas présenter ton offrande à l’autel,
si, là, tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi,
laisse ton offrande, là, devant l’autel,
va d’abord te réconcilier avec ton frère,
et ensuite viens présenter ton offrande.
Mets-toi vite d’accord avec ton adversaire
pendant que tu es en chemin avec lui,
pour éviter que ton adversaire ne te livre au juge,
le juge au garde,
et qu’on ne te jette en prison.
Amen, je te le dis :
tu n’en sortiras pas
avant d’avoir payé jusqu’au dernier sou.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Deuxième lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (2 Co 3, 4-11)
Frères,
si nous avons une telle confiance en Dieu
par le Christ,
ce n’est pas à cause d’une capacité personnelle
que nous pourrions nous attribuer :
notre capacité vient de Dieu.
Lui nous a rendus capables
d’être les ministres d’une Alliance nouvelle,
fondée non pas sur la lettre mais dans l’Esprit ;
car la lettre tue,
mais l’Esprit donne la vie.
Le ministère de la mort,
celui de la Loi gravée en lettres sur des pierres,
avait déjà une telle gloire
que les fils d’Israël ne pouvaient pas fixer le visage de Moïse
à cause de la gloire, pourtant passagère, qui rayonnait de son visage.
Combien plus grande alors sera la gloire
du ministère de l’Esprit !
Le ministère qui entraînait la condamnation, celui de la Loi,
était déjà rayonnant de gloire ;
combien plus grande sera la gloire du ministère
qui fait de nous des justes !
Non, vraiment, ce qui, dans une certaine mesure, a été glorieux ne l’est plus,
parce qu’il y a maintenant une gloire incomparable.
Si, en effet, ce qui était passager a connu un moment de gloire,
combien plus ce qui demeure restera-t-il dans la gloire !
— Parole du Seigneur.
Ps 98 (99), 5. 6. 7. 8. 9
Exaltez le Seigneur notre Dieu,
prosternez-vous au pied de son trône,
car il est saint !
Moïse et le prêtre Aaron, Samuel, le Suppliant,
tous, ils suppliaient le Seigneur,
et lui leur répondait.
Dans la colonne de nuée, il parlait avec eux ;
ils ont gardé ses volontés,
les lois qu’il leur donna.
Seigneur notre Dieu, tu leur as répondu :
avec eux, tu restais un Dieu patient,
mais tu les punissais pour leurs fautes.
Exaltez le Seigneur notre Dieu,
prosternez-vous devant sa sainte montagne,
car il est saint, le Seigneur notre Dieu.
Alléluia. Alléluia.
Fais-moi connaître ta route, mon Dieu ;
dirige-moi par ta vérité.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 17-19)
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
“Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes :
je ne suis pas venu abolir, mais accomplir.
Amen, je vous le dis :
Avant que le ciel et la terre disparaissent,
pas un seul iota, pas un seul trait ne disparaîtra de la Loi
jusqu’à ce que tout se réalise.
Donc, celui qui rejettera
un seul de ces plus petits commandements,
et qui enseignera aux hommes à faire ainsi,
sera déclaré le plus petit dans le royaume des Cieux.
Mais celui qui les observera et les enseignera,
celui-là sera déclaré grand dans le royaume des Cieux.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Deuxième lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (2 Co 1, 18-22)
Frères,
Dieu en est garant,
la parole que nous vous adressons
n’est pas “oui et non”.
Car le Fils de Dieu, le Christ Jésus,
que nous avons annoncé parmi vous,
Silvain et Timothée, avec moi,
n’a pas été “oui et non” ;
il n’a été que “oui”.
Et toutes les promesses de Dieu
ont trouvé leur “oui” dans sa personne.
Aussi est- ce par le Christ
que nous disons à Dieu notre “amen”,
notre “oui”, pour sa gloire.
Celui qui nous rend solides pour le Christ
dans nos relations avec vous,
celui qui nous a consacrés,
c’est Dieu ;
il nous a marqués de son sceau,
et il a mis dans nos cœurs l’Esprit,
première avance sur ses dons.
— Parole du Seigneur.
118 (119), 129-130. 131-132. 133. 135
Quelle merveille, tes exigences,
aussi mon âme les garde !
Déchiffrer ta parole illumine,
et les simples comprennent.
La bouche grande ouverte, j’aspire,
assoiffé de tes volontés.
Aie pitié de moi, regarde-moi :
tu le fais pour qui aime ton nom.
Que ta promesse assure mes pas :
qu’aucun mal ne triomphe de moi !
Pour ton serviteur que ton visage s’illumine :
apprends- moi tes commandements.
Alléluia. Alléluia.
Que votre lumière brille devant les hommes :
alors, voyant ce que vous faites de bien,
ils rendront gloire à votre Père.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 13-16)
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
“Vous êtes le sel de la terre.
Mais si le sel devient fade,
comment lui rendre de la saveur ?
Il ne vaut plus rien :
on le jette dehors et il est piétiné par les gens.Vous êtes la lumière du monde.
Une ville située sur une montagne
ne peut être cachée.
Et l’on n’allume pas une lampe
pour la mettre sous le boisseau ;
on la met sur le lampadaire,
et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.
De même, que votre lumière brille devant les hommes :
alors, voyant ce que vous faites de bien,
ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Deuxième lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (2 Co 1, 1-7)
Paul, apôtre du Christ Jésus
par la volonté de Dieu,
et Timothée notre frère,
à l’Église de Dieu qui est à Corinthe
ainsi qu’à tous les fidèles
qui sont par toute la Grèce.
À vous, la grâce et la paix
de la part de Dieu notre Père
et du Seigneur Jésus-Christ.
Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ,
le Père plein de tendresse,
le Dieu de qui vient tout réconfort.
Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ;
ainsi, nous pouvons réconforter
tous ceux qui sont dans la détresse,
grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu.
En effet, de même que nous avons largement part aux souffrances du Christ,
de même, par le Christ, nous sommes largement réconfortés.
Quand nous sommes dans la détresse,
c’est pour que vous obteniez le réconfort et le salut ;
quand nous sommes réconfortés,
c’est encore pour que vous obteniez le réconfort,
et cela vous permet de supporter avec persévérance
les mêmes souffrances que nous.
En ce qui vous concerne, nous avons de solides raisons d’espérer,
car, nous le savons,
de même que vous avez part aux souffrances,
de même vous obtiendrez le réconfort.
— Parole du Seigneur.
33 (34), 2-3. 4-5. 6-7. 8-9
Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m’entendent et soient en fête !
Magnifiez avec moi le Seigneur,
exaltons tous ensemble son nom.
Je cherche le Seigneur, il me répond :
de toutes mes frayeurs, il me délivre.
Qui regarde vers lui resplendira,
sans ombre ni trouble au visage.
Un pauvre crie ; le Seigneur entend :
il le sauve de toutes ses angoisses.
L’ange du Seigneur campe alentour
pour libérer ceux qui le craignent.
Goûtez et voyez : le Seigneur est bon !
Heureux qui trouve en lui son refuge !
Alléluia. Alléluia.
Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse,
car votre récompense est grande dans les cieux !
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 1-12)
En ce temps-là,
voyant les foules, Jésus gravit la montagne.
Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui.
Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait.
Il disait :
“Heureux les pauvres de cœur,
car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux ceux qui pleurent,
car ils seront consolés.
Heureux les doux,
car ils recevront la terre en héritage.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice,
car ils seront rassasiés.
Heureux les miséricordieux,
car ils obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs,
car ils verront Dieu.
Heureux les artisans de paix,
car ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice,
car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux êtes-vous si l’on vous insulte,
si l’on vous persécute
et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous,
à cause de moi.
Réjouissez- vous, soyez dans l’allégresse,
car votre récompense est grande dans les cieux !
C’est ainsi qu’on a persécuté
les prophètes qui vous ont précédés.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
Livre du Deutéronome (Dt 8, 2-3. 14b-16a)
Moïse disait au peuple d’Israël :
“Souviens-toi de la longue marche que tu as faite
pendant quarante années dans le désert ;
le Seigneur ton Dieu te l’a imposée
pour te faire passer par la pauvreté ;
il voulait t’éprouver et savoir ce que tu as dans le cœur :
allais-tu garder ses commandements, oui ou non ?
Il t’a fait passer par la pauvreté, il t’a fait sentir la faim,
et il t’a donné à manger la manne
– cette nourriture que ni toi ni tes pères n’aviez connue –
pour que tu saches que l’homme
ne vit pas seulement de pain,
mais de tout ce qui vient de la bouche du Seigneur.
N’oublie pas le Seigneur ton Dieu
qui t’a fait sortir du pays d’Égypte,
de la maison d’esclavage.
C’est lui qui t’a fait traverser ce désert,
vaste et terrifiant,
pays des serpents brûlants et des scorpions,
pays de la sécheresse et de la soif.
C’est lui qui, pour toi, a fait jaillir l’eau
de la roche la plus dure.
C’est lui qui, dans le désert, t’a donné la manne
– cette nourriture inconnue de tes pères.”
— Parole du Seigneur.
Ps 147 (147 B), 12-13. 14-15. 19-20
Glorifie le Seigneur, Jérusalem !
Célèbre ton Dieu, ô Sion !
Il a consolidé les barres de tes portes,
dans tes murs il a béni tes enfants.
Il fait régner la paix à tes frontières,
et d’un pain de froment te rassasie.
Il envoie sa parole sur la terre :
rapide, son verbe la parcourt.
Il révèle sa parole à Jacob,
ses volontés et ses lois à Israël.
Pas un peuple qu’il ait ainsi traité ;
nul autre n’a connu ses volontés.
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 10, 16-17)
Frères,
la coupe de bénédiction que nous bénissons,
n’est-elle pas communion au sang du Christ ?
Le pain que nous rompons,
n’est-il pas communion au corps du Christ ?
Puisqu’il y a un seul pain,
la multitude que nous sommes est un seul corps,
car nous avons tous part à un seul pain.
— Parole du Seigneur.
Sion, célèbre ton Sauveur,
chante ton chef et ton pasteur
par des hymnes et des chants.
Tant que tu peux, tu dois oser,
car il dépasse tes louanges,
tu ne peux trop le louer.
Le Pain vivant, le Pain de vie,
il est aujourd’hui proposé
comme objet de tes louanges.
Au repas sacré de la Cène,
il est bien vrai qu’il fut donné
au groupe des douze frères.
Louons-le à voix pleine et forte,
que soit joyeuse et rayonnante
l’allégresse de nos cœurs !
C’est en effet la journée solennelle
où nous fêtons de ce banquet divin
la première institution.
À ce banquet du nouveau Roi,
la Pâque de la Loi nouvelle
met fin à la Pâque ancienne.
L’ordre ancien le cède au nouveau,
la réalité chasse l’ombre,
et la lumière, la nuit.
Ce que fit le Christ à la Cène,
il ordonna qu’en sa mémoire
nous le fassions après lui.
Instruits par son précepte saint,
nous consacrons le pain, le vin,
en victime de salut.
C’est un dogme pour les chrétiens
que le pain se change en son corps,
que le vin devient son sang.
Ce qu’on ne peut comprendre et voir,
notre foi ose l’affirmer,
hors des lois de la nature.
L’une et l’autre de ces espèces,
qui ne sont que de purs signes,
voilent un réel divin.
Sa chair nourrit, son sang abreuve,
mais le Christ tout entier demeure
sous chacune des espèces.
On le reçoit sans le briser,
le rompre ni le diviser ;
il est reçu tout entier.
Qu’un seul ou mille communient,
il se donne à l’un comme aux autres,
il nourrit sans disparaître.
Bons et mauvais le consomment,
mais pour un sort bien différent,
pour la vie ou pour la mort.
Mort des pécheurs, vie pour les justes ;
vois : ils prennent pareillement ;
quel résultat différent !
Si l’on divise les espèces,
n’hésite pas, mais souviens-toi
qu’il est présent dans un fragment
aussi bien que dans le tout.
Le signe seul est partagé,
le Christ n’est en rien divisé,
ni sa taille ni son état
n’ont en rien diminué.
Le voici, le pain des anges,
il est le pain de l’homme en route,
le vrai pain des enfants de Dieu,
qu’on ne peut jeter aux chiens.
D’avance il fut annoncé
par Isaac en sacrifice,
par l’agneau pascal immolé,
par la manne de nos pères.
Ô bon Pasteur, notre vrai pain,
ô Jésus, aie pitié de nous,
nourris-nous et protège-nous,
fais-nous voir les biens éternels
dans la terre des vivants.
Toi qui sais tout et qui peux tout,
toi qui sur terre nous nourris,
conduis-nous au banquet du ciel
et donne-nous ton héritage,
en compagnie de tes saints.
Amen.
Alléluia. Alléluia.
Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel, dit le Seigneur ;
si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 51-58)
En ce temps-là,
Jésus disait aux foules des Juifs :
“Moi, je suis le pain vivant,
qui est descendu du ciel :
si quelqu’un mange de ce pain,
il vivra éternellement.
Le pain que je donnerai, c’est ma chair,
donnée pour la vie du monde.”
Les Juifs se querellaient entre eux :
“Comment celui-là
peut-il nous donner sa chair à manger ?”
Jésus leur dit alors :
“Amen, amen, je vous le dis :
si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme,
et si vous ne buvez pas son sang,
vous n’avez pas la vie en vous.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang
a la vie éternelle ;
et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
En effet, ma chair est la vraie nourriture,
et mon sang est la vraie boisson.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang
demeure en moi,
et moi, je demeure en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé,
et que moi je vis par le Père,
de même celui qui me mange,
lui aussi vivra par moi.
Tel est le pain qui est descendu du ciel :
il n’est pas comme celui que les pères ont mangé.
Eux, ils sont morts ;
celui qui mange ce pain
vivra éternellement.”
— Acclamons la Parole de Dieu.
10 juin 2023 — Samedi, Neuvième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 38-44)
9 juin 2023 — Vendredi, Neuvième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, dit le Seigneur ; mon Père l’aimera, et nous viendrons vers lui — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 35-37)
8 juin 2023 — Jeudi, Neuvième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Notre Sauveur, le Christ Jésus, a détruit la mort ; il a fait resplendir la vie par l’Évangile — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 28b-34)
7 juin 2023 — Mercredi, Neuvième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Moi, je suis la résurrection et la vie, dit le Seigneur. Celui qui croit en moi ne mourra jamais — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 18-27)
6 juin 2023 — Mardi, Neuvième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Que le Père de notre Seigneur Jésus-Christ ouvre à sa lumière les yeux de notre cœur, pour que nous percevions l’espérance que donne son appel — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 13-17)
5 juin 2023 — Lundi, Neuvième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire — Jésus-Christ, témoin fidèle, premier-né d’entre les morts, tu nous aimes, et par ton sang tu nous délivres du péché — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 1-12)
À l'issue de sa deuxième Assemblée Générale qui s'est tenue du 15 au 18 octobre 2024, la Commission épiscopale Justice et Paix a adressé un message aux responsables étatiques à tous les niveaux, ainsi qu'à tous les Malagasy et à toutes les personnes de bonne volonté.
Lire la suite...Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.
Lire la suite...Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.
Lire la suite...© 2025 Radio Don Bosco