4 février 2025 — Mardi, Quatrième semaine du Temps Ordinaire — Le Christ a pris nos souffrances, il a porté nos maladies — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 5, 21-43)

3 février 2025 — Lundi, Quatrième semaine du Temps Ordinaire — Un grand prophète s’est levé parmi nous, et Dieu a visité son peuple — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 5, 1-20)

2 février 2025 — Présentation du Seigneur au Temple — Fête du Seigneur — Lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 22-40)

Première lecture

Livre du prophète Jérémie (Jr 17, 5-8)

Maudit soit l’homme qui met sa foi dans un mortel. Béni soit l’homme qui met sa foi dans le Seigneur.

Ainsi parle le Seigneur :

Maudit soit l’homme
qui met sa foi dans un mortel,
qui s’appuie sur un être de chair,
tandis que son cœur se détourne du Seigneur.
Il sera comme un buisson sur une terre désolée,
il ne verra pas venir le bonheur.
Il aura pour demeure les lieux arides du désert,
une terre salée, inhabitable.

Béni soit l’homme
qui met sa foi dans le Seigneur,
dont le Seigneur est la confiance.
Il sera comme un arbre, planté près des eaux,
qui pousse, vers le courant, ses racines.
Il ne craint pas quand vient la chaleur :
son feuillage reste vert.
L’année de la sécheresse, il est sans inquiétude :
il ne manque pas de porter du fruit.

– Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 1, 1-2. 3. 4. 6

Heureux est l’homme qui met sa foi dans le Seigneur.

Heureux est l’homme
qui n’entre pas au conseil des méchants,
qui ne suit pas le chemin des pécheurs,
ne siège pas avec ceux qui ricanent,
mais se plaît dans la loi du Seigneur
et murmure sa loi jour et nuit !

Il est comme un arbre
planté près d’un ruisseau,
qui donne du fruit en son temps,
et jamais son feuillage ne meurt ;
tout ce qu’il entreprend réussira.
Tel n’est pas le sort des méchants.

Mais ils sont comme la paille
balayée par le vent.
Le Seigneur connaît le chemin des justes,
mais le chemin des méchants se perdra.

Deuxième lecture

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 15, 12. 16-20)

Si le Christ n’est pas ressuscité, votre foi est sans valeur.

Frères,
nous proclamons que le Christ est ressuscité d’entre les morts ;
alors, comment certains d’entre vous peuvent-ils affirmer
qu’il n’y a pas de résurrection des morts ?
Car si les morts ne ressuscitent pas,
le Christ non plus n’est pas ressuscité.
Et si le Christ n’est pas ressuscité,
votre foi est sans valeur,
vous êtes encore sous l’emprise de vos péchés ;
et donc, ceux qui se sont endormis dans le Christ sont perdus.
Si nous avons mis notre espoir dans le Christ
pour cette vie seulement,
nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes.
Mais non ! le Christ est ressuscité d’entre les morts,
lui, premier ressuscité parmi ceux qui se sont endormis.

– Parole du Seigneur.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Réjouissez-vous, tressaillez de joie, dit le Seigneur, car votre récompense est grande dans le ciel.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 6, 17. 20-26)

Heureux les pauvres ! Quel malheur pour vous les riches !

En ce temps-là,
Jésus descendit de la montagne avec les Douze
et s’arrêta sur un terrain plat.
Il y avait là un grand nombre de ses disciples,
et une grande multitude de gens
venus de toute la Judée, de Jérusalem,
et du littoral de Tyr et de Sidon.

Et Jésus, levant les yeux sur ses disciples, déclara :

“Heureux, vous les pauvres,
car le royaume de Dieu est à vous.
Heureux, vous qui avez faim maintenant,
car vous serez rassasiés.
Heureux, vous qui pleurez maintenant,
car vous rirez.
Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent
et vous excluent,
quand ils insultent
et rejettent votre nom comme méprisable,
à cause du Fils de l’homme.
Ce jour-là, réjouissez-vous, tressaillez de joie,
car alors votre récompense est grande dans le ciel ;
c’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les prophètes.

Mais quel malheur pour vous, les riches,
car vous avez votre consolation !
Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant,
car vous aurez faim !
Quel malheur pour vous qui riez maintenant,
car vous serez dans le deuil et vous pleurerez !
Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous !
C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes.”

– Acclamons la Parole de Dieu.

Prmière lecture

Livre du prophète Isaïe (Is 6, 1-2a. 3-8)

Me voici : envoie-moi !

L’année de la mort du roi Ozias,
je vis le Seigneur qui siégeait sur un trône très élevé ;
les pans de son manteau remplissaient le Temple.
Des séraphins se tenaient au-dessus de lui.
Ils se criaient l’un à l’autre :

“Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur de l’univers !
Toute la terre est remplie de sa gloire.”

Les pivots des portes se mirent à trembler
à la voix de celui qui criait,
et le Temple se remplissait de fumée.
Je dis alors :

“Malheur à moi ! je suis perdu,
car je suis un homme aux lèvres impures,
j’habite au milieu d’un peuple aux lèvres impures :
et mes yeux ont vu le Roi, le Seigneur de l’univers !”

L’un des séraphins vola vers moi,
tenant un charbon brûlant
qu’il avait pris avec des pinces sur l’autel.
Il l’approcha de ma bouche et dit :

“Ceci a touché tes lèvres,
et maintenant ta faute est enlevée,
ton péché est pardonné.”

J’entendis alors la voix du Seigneur qui disait :

“Qui enverrai-je ?
qui sera notre messager ?”

Et j’ai répondu :

“Me voici :
envoie-moi !”

– Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 137 (138), 1-2a. 2bc-3. 4-5. 7c-8

Je te chante, Seigneur, en présence des anges.

De tout mon cœur, Seigneur, je te rends grâce :
tu as entendu les paroles de ma bouche.
Je te chante en présence des anges,
vers ton temple sacré, je me prosterne.

Je rends grâce à ton nom pour ton amour et ta vérité,
car tu élèves, au-dessus de tout, ton nom et ta parole.
Le jour où tu répondis à mon appel,
tu fis grandir en mon âme la force.

Tous les rois de la terre te rendent grâce
quand ils entendent les paroles de ta bouche.
Ils chantent les chemins du Seigneur :
“Qu’elle est grande, la gloire du Seigneur !”

Ta droite me rend vainqueur.
Le Seigneur fait tout pour moi !
Seigneur, éternel est ton amour :
n’arrête pas l’œuvre de tes mains.

Deuxième lecture

Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1 Co 15, 1-11)

Voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez.

Frères,
je vous rappelle la Bonne Nouvelle
que je vous ai annoncée ;
cet Évangile, vous l’avez reçu ;
c’est en lui que vous tenez bon,
c’est par lui que vous serez sauvés
si vous le gardez tel que je vous l’ai annoncé ;
autrement, c’est pour rien que vous êtes devenus croyants.

Avant tout, je vous ai transmis ceci,
que j’ai moi-même reçu :
le Christ est mort pour nos péchés
conformément aux Écritures,
et il fut mis au tombeau ;
il est ressuscité le troisième jour
conformément aux Écritures,
il est apparu à Pierre, puis aux Douze ;
ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois
– la plupart sont encore vivants,
et quelques-uns sont endormis dans la mort –,
ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres.
Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis.

Car moi, je suis le plus petit des Apôtres,
je ne suis pas digne d’être appelé Apôtre,
puisque j’ai persécuté l’Église de Dieu.
Mais ce que je suis,
je le suis par la grâce de Dieu,
et sa grâce, venant en moi, n’a pas été stérile.
Je me suis donné de la peine plus que tous les autres ;
à vrai dire, ce n’est pas moi,
c’est la grâce de Dieu avec moi.

Bref, qu’il s’agisse de moi ou des autres,
voilà ce que nous proclamons,
voilà ce que vous croyez.

– Parole du Seigneur.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

“Venez à ma suite, dit le Seigneur, et je vous ferai pêcheurs d’hommes.”

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 5, 1-11)

Laissant tout, ils le suivirent.

En ce temps-là,
la foule se pressait autour de Jésus
pour écouter la parole de Dieu,
tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth.
Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ;
les pêcheurs en étaient descendus
et lavaient leurs filets.
Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon,
et lui demanda de s’écarter un peu du rivage.
Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.
Quand il eut fini de parler,
il dit à Simon :

“Avance au large,
et jetez vos filets pour la pêche.”

Simon lui répondit :

“Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ;
mais, sur ta parole, je vais jeter les filets.”

Et l’ayant fait,
ils capturèrent une telle quantité de poissons
que leurs filets allaient se déchirer.
Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque
de venir les aider.
Ceux-ci vinrent,
et ils remplirent les deux barques,
à tel point qu’elles enfonçaient.
à cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus,
en disant :

“Éloigne-toi de moi, Seigneur,
car je suis un homme pécheur.”

En effet, un grand effroi l’avait saisi,
lui et tous ceux qui étaient avec lui,
devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ;
et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée,
les associés de Simon.
Jésus dit à Simon :

“Sois sans crainte,
désormais ce sont des hommes que tu prendras.”

Alors ils ramenèrent les barques au rivage
et, laissant tout, ils le suivirent.

– Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Livre du prophète Malachie (Ml 3, 1-4)

Soudain viendra dans son Temple le Seigneur que vous cherchez.

Ainsi parle le Seigneur Dieu :

Voici que j’envoie mon messager
pour qu’il prépare le chemin devant moi ;
et soudain viendra dans son Temple
le Seigneur que vous cherchez.
Le messager de l’Alliance que vous désirez,
le voici qui vient – dit le Seigneur de l’univers.
Qui pourra soutenir le jour de sa venue ?
Qui pourra rester debout lorsqu’il se montrera ?
Car il est pareil au feu du fondeur,
pareil à la lessive des blanchisseurs.
Il s’installera pour fondre et purifier :
il purifiera les fils de Lévi,
il les affinera comme l’or et l’argent ;
ainsi pourront-ils, aux yeux du Seigneur,
présenter l’offrande en toute justice.
Alors, l’offrande de Juda et de Jérusalem
sera bien accueillie du Seigneur,
comme il en fut aux jours anciens,
dans les années d’autrefois.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 23 (24), 7. 8. 9. 10

C’est le Seigneur, Dieu de l’univers ; c’est lui, le roi de gloire.

Portes, levez vos frontons,
élevez-vous, portes éternelles :
qu’il entre, le roi de gloire !

Qui est ce roi de gloire ?
C’est le Seigneur, le fort, le vaillant,
le Seigneur, le vaillant des combats.

Portes, levez vos frontons,
levez-les, portes éternelles :
qu’il entre, le roi de gloire !

Qui donc est ce roi de gloire ?
C’est le Seigneur, Dieu de l’univers ;
c’est lui, le roi de gloire.

Deuxième lecture

Lettre aux Hébreux (He 2, 14-18)

Il lui fallait se rendre en tout semblable à ses frères.

Puisque les enfants des hommes ont en commun le sang et la chair,
Jésus a partagé, lui aussi, pareille condition :
ainsi, par sa mort, il a pu réduire à l’impuissance
celui qui possédait le pouvoir de la mort,
c’est-à-dire le diable,
et il a rendu libres tous ceux qui, par crainte de la mort,
passaient toute leur vie dans une situation d’esclaves.
Car ceux qu’il prend en charge, ce ne sont pas les anges,
c’est la descendance d’Abraham.
Il lui fallait donc se rendre en tout semblable à ses frères,
pour devenir un grand prêtre miséricordieux et digne de foi
pour les relations avec Dieu,
afin d’enlever les péchés du peuple.
Et parce qu’il a souffert jusqu’au bout l’épreuve de sa Passion,
il est capable de porter secours à ceux qui subissent une épreuve.

— Parole du Seigneur.

 

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 22-40)

Mes yeux ont vu ton salut.

Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse
pour la purification,
les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi :

Tout premier-né de sexe masculin
sera consacré au Seigneur.

Ils venaient aussi offrir
le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur :
un couple de tourterelles
ou deux petites colombes.

Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
C’était un homme juste et religieux,
qui attendait la Consolation d’Israël,
et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce
qu’il ne verrait pas la mort
avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple.
Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus
pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras,
et il bénit Dieu en disant :

“Maintenant, ô Maître souverain,
tu peux laisser ton serviteur s’en aller
en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations
et donne gloire à ton peuple Israël.”

Le père et la mère de l’enfant
s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit,
puis il dit à Marie sa mère :

“Voici que cet enfant
provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
Il sera un signe de contradiction
– et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – :
ainsi seront dévoilées
les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre.”

Il y avait aussi une femme prophète,
Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser.
Elle était très avancée en âge ;
après sept ans de mariage,
demeurée veuve,
elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans.
Elle ne s’éloignait pas du Temple,
servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même,
elle proclamait les louanges de Dieu
et parlait de l’enfant
à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.

Lorsqu’ils eurent achevé
tout ce que prescrivait la loi du Seigneur,
ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.

L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait,
rempli de sagesse,
et la grâce de Dieu était sur lui.

— Acclamons la Parole de Dieu.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 22-32)

Mes yeux ont vu ton salut.

Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse
pour la purification,
les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi :

Tout premier-né de sexe masculin
sera consacré au Seigneur.

Ils venaient aussi offrir
le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur :
un couple de tourterelles
ou deux petites colombes.

Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
C’était un homme juste et religieux,
qui attendait la Consolation d’Israël,
et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce
qu’il ne verrait pas la mort
avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple.
Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus
pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras,
et il bénit Dieu en disant :

“Maintenant, ô Maître souverain,
tu peux laisser ton serviteur s’en aller
en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations
et donne gloire à ton peuple Israël.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

L'aridité, c'est : prier, mais ne pas en trouver le goût, comme les disciples de Jésus, noyés dans le sommeil et l'anxiété. Une personne qui prie a besoin d’une pleine concentration pour surmonter l’aridité. Tout comme les vierges préparées avec de l'huile lors de la veillée, la prière est l'huile que nous, chrétiens, porterons en attendant le retour de Jésus... Catéchèse sur La distraction, l'aridité et l'acédie avec P. Rabenirina Joseph.

La prière nécessite une pleine concentration. La prière demande de la pratique, en particulier le fait de consacrer sa vie à Dieu. Les personnes qui prient doivent se concentrer sur Dieu chaque jour. Sainte méditation, différentes formules de prière font partie des manières de prier... Catéchèse sur La distraction, l'aridité et l'acédie avec P. Rabenirina Joseph.

Il existe de nombreuses expériences et expériences liées aux prières des religieux anciens : il y avait ceux qui avaient de la patience dans les petites choses, parmi lesquels sainte Thérèse d'Avila, saint Jean de la Croix et saint Jean Bosco. La prière est l'un des moyens de développer les gens et d'être un bon citoyen, Dieu travaille dans nos prières... Catéchèse sur le Combat de la prière avec P. Rabenirina Joseph.

La prière, dans les Saintes Écritures, est l'une des meilleures prières. La prière est un véritable combat. Les prières expérimentées par le peuple élu de Dieu prouvent que la prière est un combat, surtout face à de nombreuses épreuves différentes... Catéchèse sur le Combat de la prière avec P. Rabenirina Joseph.

Les membres de Filamatra Soa Iombona ou FISOI et SOAMITSINJO dans la région d'Analamanga reçoivent une formation de formateurs en production biologique à travers le projet KCOA-KHEA. Formation de cinq jours organisée au Centre SAF FJKM ou au quartier FOFIFAKRI Isoavina Ambanitsena de Manjakandriana au mois de mars 2024....

La prière demande de la détermination, il ne faut pas abandonner, c'est ce qu'on appelle un combat de prière. La volonté de Dieu doit être recherchée dans la prière. La prière apporte l'espoir, comme la femme qui a été malade pendant de nombreuses années mais qui a été guérie par la prière et la foi... Catéchèse sur le Combat de la prière avec P. Rabenirina Joseph.

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