3 janvier 2024 — Mercredi, Temps de la Nativité — Le Verbe s’est fait chair, il a établi parmi nous sa demeure. À tous ceux qui l’ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 1, 29-34)

2 janvier 2024 — Mardi, Temps de la Nativité — À bien des reprises, Dieu, dans le passé, a parlé à nos pères par les prophètes ; à la fin, en ces jours où nous sommes, il nous a parlé par son Fils — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 1, 19-28)

Première lecture

Première lettre de saint Jean (1 Jn 2, 22-28)

Que demeure en vous ce que vous avez entendu depuis le commencement.

Bien-aimés,
le menteur n’est-il pas celui qui refuse
que Jésus soit le Christ ?
Celui-là est l’anti-Christ :
il refuse à la fois le Père et le Fils ;
quiconque refuse le Fils
n’a pas non plus le Père ;
celui qui reconnaît le Fils
a aussi le Père.

Quant à vous, que demeure en vous
ce que vous avez entendu depuis le commencement.
Si ce que vous avez entendu depuis le commencement
demeure en vous,
vous aussi, vous demeurerez dans le Fils et dans le Père.
Et telle est la promesse que lui-même nous a faite :
la vie éternelle.
Je vous ai écrit cela
à propos de ceux qui vous égarent.
Quant à vous,
l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous,
et vous n’avez pas besoin d’enseignement.
Cette onction vous enseigne toutes choses,
elle qui est vérité et non pas mensonge ;
et, selon ce qu’elle vous a enseigné,
vous demeurez en lui.
Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui ;
ainsi, quand il se manifestera,
nous aurons de l’assurance,
et non pas la honte d’être loin de lui
à son avènement.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Psaume 97 (98), 1. 2-3ab. 3cd-4

La terre tout entière a vu le salut de notre Dieu.

Chantez au Seigneur un chant nouveau,
car il a fait des merveilles ;
par son bras très saint, par sa main puissante,
il s’est assuré la victoire.

Le Seigneur a fait connaître sa victoire
et révélé sa justice aux nations ;
il s’est rappelé sa fidélité, son amour,
en faveur de la maison d’Israël.

La terre tout entière a vu
la victoire de notre Dieu.
Acclamez le Seigneur, terre entière,
sonnez, chantez, jouez !

Évangile

Alléluia. Alléluia.

À bien des reprises, Dieu, dans le passé, a parlé à nos pères par les prophètes ; à la fin, en ces jours où nous sommes, il nous a parlé par son Fils.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 1, 19-28)

C’est lui qui vient derrière moi.

Voici le témoignage de Jean le Baptiste,
quand les Juifs lui envoyèrent de Jérusalem
des prêtres et des lévites
pour lui demander :

“Qui es-tu ?”

Il ne refusa pas de répondre, il déclara ouvertement :

“Je ne suis pas le Christ.”

Ils lui demandèrent :

“Alors qu’en est-il ?
Es-tu le prophète Élie ?”

Il répondit :

“Je ne le suis pas.
– Es-tu le Prophète annoncé ?”

Il répondit :

“Non.”

Alors ils lui dirent :

“Qui es-tu ?
Il faut que nous donnions une réponse
à ceux qui nous ont envoyés.
Que dis-tu sur toi-même ?”

Il répondit :

“Je suis la voix de celui qui crie dans le désert :
Redressez le chemin du Seigneur,
comme a dit le prophète Isaïe.”

Or, ils avaient été envoyés de la part des pharisiens.
Ils lui posèrent encore cette question :

“Pourquoi donc baptises-tu,
si tu n’es ni le Christ, ni Élie, ni le Prophète ?”

Jean leur répondit :

“Moi, je baptise dans l’eau.
Mais au milieu de vous
se tient celui que vous ne connaissez pas ;
c’est lui qui vient derrière moi,
et je ne suis pas digne
de délier la courroie de sa sandale.”

Cela s’est passé à Béthanie, de l’autre côté du Jourdain,
à l’endroit où Jean baptisait.

— Acclamons la Parole de Dieu.

1er janvier 2024 — Sainte Marie, Mère de Dieu — Solennité — À bien des reprises, Dieu, dans le passé, a parlé à nos pères par les prophètes ; à la fin, en ces jours où nous sommes, il nous a parlé par son Fils — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 16-21)

Ce qu'on appelle sagesse dans les Saintes Écritures recouvre beaucoup de choses : La capacité de faire du « savoir-faire », ne parlant pas encore de comportement mais une question de connaissance, d'habileté et d'aptitude ; dextérité en accomplissant une tâche (1R 7, 14) pleine de sagesse, de perspicacité et de dextérité, pour accomplir diverses tâches ; un homme sage; capable de se comporter. Catéchèse sur l'Église, la famille et le développement, en collaboration avec le P. Bertrand Ratovoalinirina.. 

Seuls le choix et le respect de ce choix peuvent conduire à la paix et sécurité, au progrès et au bien-être. Les Malgaches souhaitent avoir le choix et respecter les choix des autres. Emission "mba ho vanona" avec le général Désiré Ramakavelo.

31 décembre 2023 — La Sainte Famille — Fête — À bien des reprises, Dieu, dans le passé, a parlé à nos pères par les prophètes ; à la fin, en ces jours où nous sommes, il nous a parlé par son Fils — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 22-40)

Première lecture

Livre de la Genèse (Gn 15, 1-6 ; 21, 1-3)

Ton héritier sera quelqu’un de ton sang.

En ces jours-là,
la parole du Seigneur fut adressée à Abram dans une vision :

“Ne crains pas, Abram !
Je suis un bouclier pour toi.
Ta récompense sera très grande.”

Abram répondit :

“Mon Seigneur Dieu, que pourrais-tu donc me donner ?
Je m’en vais sans enfant,
et l’héritier de ma maison, c’est Élièzer de Damas.”

Abram dit encore :

“Tu ne m’as pas donné de descendance,
et c’est un de mes serviteurs qui sera mon héritier.”

Alors cette parole du Seigneur fut adressée à Abram :

“Ce n’est pas lui qui sera ton héritier,
mais quelqu’un de ton sang.”

Puis il le fit sortir et lui dit :

“Regarde le ciel,
et compte les étoiles, si tu le peux...”

Et il déclara :

“Telle sera ta descendance !”

Abram eut foi dans le Seigneur
et le Seigneur estima qu’il était juste.

Le Seigneur visita Sara
comme il l’avait annoncé ;
il agit pour elle comme il l’avait dit.
Elle devint enceinte,
et elle enfanta un fils pour Abraham dans sa vieillesse,
à la date que Dieu avait fixée.
Et Abraham donna un nom
au fils que Sara lui avait enfanté :
il l’appela Isaac.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 104 (105), 1-2. 3-4. 5-6. 8-9

Le Seigneur, c’est lui notre Dieu ; il s’est toujours souvenu de son alliance.

Rendez grâce au Seigneur, proclamez son nom,
annoncez parmi les peuples ses hauts faits ;
chantez et jouez pour lui,
redites sans fin ses merveilles.

Glorifiez-vous de son nom très saint :
joie pour les cœurs qui cherchent Dieu !
Cherchez le Seigneur et sa puissance,
recherchez sans trêve sa face.

Souvenez-vous des merveilles qu’il a faites,
de ses prodiges, des jugements qu’il prononça,
vous, la race d’Abraham son serviteur,
les fils de Jacob, qu’il a choisis.

Il s’est toujours souvenu de son alliance,
parole édictée pour mille générations :
promesse faite à Abraham,
garantie par serment à Isaac.

Deuxième lecture

Lettre aux Hébreux (He 11, 8. 11-12. 17-19)

La foi d’Abraham, de Sara et d’Isaac.

Frères,
grâce à la foi, Abraham obéit à l’appel de Dieu :
il partit vers un pays
qu’il devait recevoir en héritage,
et il partit sans savoir où il allait.

Grâce à la foi, Sara, elle aussi, malgré son âge,
fut rendue capable d’être à l’origine d’une descendance
parce qu’elle pensait que Dieu est fidèle à ses promesses.
C’est pourquoi, d’un seul homme, déjà marqué par la mort,
a pu naître une descendance aussi nombreuse
que les étoiles du ciel
et que le sable au bord de la mer,
une multitude innombrable.

Grâce à la foi, quand il fut soumis à l’épreuve,
Abraham offrit Isaac en sacrifice.
Et il offrait le fils unique,
alors qu’il avait reçu les promesses
et entendu cette parole :
C’est par Isaac qu’une descendance portera ton nom.
Il pensait en effet
que Dieu est capable même de ressusciter les morts ;
c’est pourquoi son fils lui fut rendu :
il y a là une préfiguration.

— Parole du Seigneur.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

À bien des reprises, Dieu, dans le passé, a parlé à nos pères par les prophètes ; à la fin, en ces jours où nous sommes, il nous a parlé par son Fils.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 22-40)

L’enfant grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse.

Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse
pour la purification,
les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi :
Tout premier-né de sexe masculin
sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi offrir
le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur :
un couple de tourterelles
ou deux petites colombes.

Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
C’était un homme juste et religieux,
qui attendait la Consolation d’Israël,
et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce
qu’il ne verrait pas la mort
avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple.
Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus
pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant :

“Maintenant, ô Maître souverain,
tu peux laisser ton serviteur s’en aller
en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations
et donne gloire à ton peuple Israël.”

Le père et la mère de l’enfant
s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit,
puis il dit à Marie sa mère :

“Voici que cet enfant
provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
Il sera un signe de contradiction
— et toi, ton âme sera traversée d’un glaive — :
ainsi seront dévoilées les pensées
qui viennent du cœur d’un grand nombre.”

Il y avait aussi une femme prophète,
Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser.
Elle était très avancée en âge ;
après sept ans de mariage,
demeurée veuve,
elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans.
Elle ne s’éloignait pas du Temple,
servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même,
elle proclamait les louanges de Dieu
et parlait de l’enfant
à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.

Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur,
ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait,
rempli de sagesse,
et la grâce de Dieu était sur lui.

— Acclamons la Parole de Dieu.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

À bien des reprises, Dieu, dans le passé, a parlé à nos pères par les prophètes ; à la fin, en ces jours où nous sommes, il nous a parlé par son Fils.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 22. 39-40)

L’enfant grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse.

Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse
pour la purification,
les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
pour le présenter au Seigneur.

Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur,
ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait,
rempli de sagesse,
et la grâce de Dieu était sur lui.

— Acclamons la Parole de Dieu.

L'éducation vise le développement de la personnalité entière de chaque individu afin qu'il ait la liberté, les compétences et la réussite dans les domaines physique, artistique et technique, intellectuel et spirituel. L’éducation est censée transmettre : des connaissances et des compétences pour façonner l’avenir, mais surtout un mode de vie et une façon de penser. Catéchèse sur l'Église, la famille et le développement, en collaboration avec le P. Bertrand Ratovoalinirina. 

30 décembre 2023 — Sixième jour dans l'octave de Noël — Aujourd’hui la lumière a brillé sur la terre. Peuples de l’univers, entrez dans la clarté de Dieu. Venez tous adorer le Seigneur — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 36-40)

29 décembre 2023 — Cinquième jour dans l'octave de Noël — Lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël — Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 22-35)

Première lecture

Première lettre de saint Jean (1 Jn 2, 3-11)

Celui qui aime son frère demeure dans la lumière.

Bien-aimés,
voici comment nous savons que nous connaissons Jésus Christ :
si nous gardons ses commandements.
Celui qui dit : “Je le connais”,
et qui ne garde pas ses commandements,
est un menteur :
la vérité n’est pas en lui.
Mais en celui qui garde sa parole,
l’amour de Dieu atteint vraiment la perfection :
voilà comment nous savons que nous sommes en lui.
Celui qui déclare demeurer en lui
doit, lui aussi, marcher
comme Jésus lui-même a marché.

Bien-aimés, ce n’est pas un commandement nouveau
que je vous écris,
mais un commandement ancien
que vous aviez depuis le commencement.
La parole que vous avez entendue,
c’est le commandement ancien.
Et pourtant, c’est un commandement nouveau
que je vous écris ;
ce qui est vrai en cette parole
l’est aussi en vous ;
en effet, les ténèbres passent
et déjà brille la vraie lumière.
Celui qui déclare être dans la lumière
et qui a de la haine contre son frère
est dans les ténèbres jusqu’à maintenant.
Celui qui aime son frère demeure dans la lumière,
et il n’y a en lui aucune occasion de chute.
Mais celui qui a de la haine contre son frère
est dans les ténèbres :
il marche dans les ténèbres sans savoir où il va,
parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Psaume 95, 1-2a. 2b-3. 5b-6

Joie au ciel ! Exulte la terre !

Chantez au Seigneur un chant nouveau,
chantez au Seigneur, terre entière,
chantez au Seigneur et bénissez son nom !

De jour en jour, proclamez son salut,
racontez à tous les peuples sa gloire,
à toutes les nations ses merveilles !

Lui, le Seigneur, a fait les cieux :
devant lui, splendeur et majesté,
dans son sanctuaire, puissance et beauté.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc (Lc 2, 22-35)

Lumière qui se révèle aux nations.

Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse
pour la purification,
les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem
pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi :
Tout premier-né de sexe masculin
sera consacré au Seigneur.
Ils venaient aussi offrir
le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur :
un couple de tourterelles
ou deux petites colombes.

Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon.
C’était un homme juste et religieux,
qui attendait la Consolation d’Israël,
et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce
qu’il ne verrait pas la mort
avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple.
Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus
pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras,
et il bénit Dieu en disant :

“Maintenant, ô Maître souverain,
tu peux laisser ton serviteur s’en aller
en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations
et donne gloire à ton peuple Israël.”

Le père et la mère de l’enfant
s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit,
puis il dit à Marie sa mère :

“Voici que cet enfant
provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
Il sera un signe de contradiction
– et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – :
ainsi seront dévoilées
les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

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