Avant la fête de la Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde à son Père, Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout.

Au cours du repas, alors que le diable a déjà mis dans le cœur de Judas, fils de Simon l’Iscariote, l’intention de le livrer, Jésus, sachant que le Père a tout remis entre ses mains, qu’il est sorti de Dieu et qu’il s’en va vers Dieu, se lève de table, dépose son vêtement, et prend un linge qu’il se noue à la ceinture ; puis il verse de l’eau dans un bassin. Alors il se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge qu’il avait à la ceinture. Il arrive donc à Simon-Pierre, qui lui dit : "C’est toi, Seigneur, qui me laves les pieds ?" Jésus lui répondit : "Ce que je veux faire, tu ne le sais pas maintenant ; plus tard tu comprendras." Pierre lui dit : "Tu ne me laveras pas les pieds ; non, jamais !" Jésus lui répondit : "Si je ne te lave pas, tu n’auras pas de part avec moi." Simon-Pierre lui dit : "Alors, Seigneur, pas seulement les pieds, mais aussi les mains et la tête !" Jésus lui dit : "Quand on vient de prendre un bain, on n’a pas besoin de se laver, sinon les pieds : on est pur tout entier. Vous-mêmes, vous êtes purs, mais non pas tous." Il savait bien qui allait le livrer ; et c’est pourquoi il disait : "Vous n’êtes pas tous purs."

Quand il leur eut lavé les pieds, il reprit son vêtement, se remit à table et leur dit : "Comprenez-vous ce que je viens de faire pour vous ? Vous m’appelez "Maître" et "Seigneur", et vous avez raison, car vraiment je le suis. Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi, vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. C’est un exemple que je vous ai donné afin que vous fassiez, vous aussi, comme j’ai fait pour vous."

L'objectif de chacun est d'être en bonne santé. Les agents de santé ne sont pas seulement des médecins, ils nous aident à préserver et à maintenir la santé. Faut pas attendre la maladie mais tant que on est en bonne santé, il faut en prendre soin: alimentation équilibrée, sommeil et exercice physique et mental. Cette deuxième vague ne presente presque pas de symptomes comme la précédente mais son développement est plus rapide, il faut donc faire attention...

Mercredi 31 mars 2021 — Mercredi saint — Salut, ô Christ notre Roi : obéissant au Père, comme l’agneau vers l’abattoir tu te laisses conduire à la croix — Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 26, 14-25

Mardi 30 mars 2021 — Mardi saint — Salut, ô Christ, notre Roi : obéissant au Père ; comme l’agneau vers l’abattoir, tu te laisses conduire à la croix — Évangile de Jésus-Christ selon saint Joany 13, 21-33. 36-38

Lundi 29 mars 2021 — Lundi saint — Salut, ô Christ, notre Roi : toi seul as pris en pitié nos égarements — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 12, 1-11

Dimanche 28 mars 2021 — Pour nous, le Christ est devenu obéissant, jusqu’à la mort, et la mort de la croix. C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 15, 1-39

Le 24 mars 2021 est la Journée mondiale de la tuberculose. Ce dernier est une maladie transmise par des gouttelettes de personnes porteuses du virus. Les symptômes les plus courants sont une longue toux pouvant durer jusqu'à deux, fièvre, sueurs nocturnes, perte de poidsmais, il faut se faire tester pour découvrir la vraie maladie, de peur de tout autre symptôme... 

En ce temps-là, l’un des Douze, nommé Judas Iscariote, se rendit chez les grands prêtres et leur dit : "Que voulez-vous me donner, si je vous le livre ?" Ils lui remirent trente pièces d’argent. Et depuis, Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer. Le premier jour de la fête des pains sans levain, les disciples s’approchèrent et dirent à Jésus : "Où veux-tu que nous te fassions les préparatifs pour manger la Pâque ?" Il leur dit : "Allez à la ville, chez untel, et dites-lui : “Le Maître te fait dire : Mon temps est proche ; c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque avec mes disciples.”" Les disciples firent ce que Jésus leur avait prescrit et ils préparèrent la Pâque. Le soir venu, Jésus se trouvait à table avec les Douze. Pendant le repas, il déclara : "Amen, je vous le dis : l’un de vous va me livrer." Profondément attristés, ils se mirent à lui demander, chacun son tour : "Serait-ce moi, Seigneur ?" Prenant la parole, il dit : "Celui qui s’est servi au plat en même temps que moi, celui-là va me livrer. Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux celui par qui le Fils de l’homme est livré ! Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là !" Judas, celui qui le livrait, prit la parole : "Rabbi, serait-ce moi ?" Jésus lui répond : "C’est toi-même qui l’as dit !"

En ce temps-là, au cours du repas que Jésus prenait avec ses disciples, il fut bouleversé en son esprit, et il rendit ce témoignage : "Amen, amen, je vous le dis : l’un de vous me livrera." Les disciples se regardaient les uns les autres avec embarras, ne sachant pas de qui Jésus parlait. Il y avait à table, appuyé contre Jésus, l’un de ses disciples, celui que Jésus aimait. Simon-Pierre lui fait signe de demander à Jésus de qui il veut parler. Le disciple se penche donc sur la poitrine de Jésus et lui dit : "Seigneur, qui est-ce ?" Jésus lui répond : "C’est celui à qui je donnerai la bouchée que je vais tremper dans le plat." Il trempe la bouchée, et la donne à Judas, fils de Simon l’Iscariote. Et, quand Judas eut pris la bouchée, Satan entra en lui. Jésus lui dit alors : "Ce que tu fais, fais-le vite." Mais aucun des convives ne comprit pourquoi il lui avait dit cela. Comme Judas tenait la bourse commune, certains pensèrent que Jésus voulait lui dire d’acheter ce qu’il fallait pour la fête, ou de donner quelque chose aux pauvres. Judas prit donc la bouchée, et sortit aussitôt. Or il faisait nuit. Quand il fut sorti, Jésus déclara : "Maintenant le Fils de l’homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui. Si Dieu est glorifié en lui, Dieu aussi le glorifiera ; et il le glorifiera bientôt. Petits enfants, c’est pour peu de temps encore que je suis avec vous. Vous me chercherez, et, comme je l’ai dit aux Juifs : “Là où je vais, vous ne pouvez pas aller”, je vous le dis maintenant à vous aussi." Simon-Pierre lui dit : "Seigneur, où vas-tu ?" Jésus lui répondit : "Là où je vais, tu ne peux pas me suivre maintenant ; tu me suivras plus tard." Pierre lui dit : "Seigneur, pourquoi ne puis-je pas te suivre à présent ? Je donnerai ma vie pour toi !" Jésus réplique : "Tu donneras ta vie pour moi ? Amen, amen, je te le dis : le coq ne chantera pas avant que tu m’aies renié trois fois."

Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie où habitait Lazare, qu’il avait réveillé d’entre les morts. On donna un repas en l’honneur de Jésus. Marthe faisait le service, Lazare était parmi les convives avec Jésus. Or, Marie avait pris une livre d’un parfum très pur et de très grande valeur ; elle répandit le parfum sur les pieds de Jésus, qu’elle essuya avec ses cheveux ; la maison fut remplie de l’odeur du parfum. Judas Iscariote, l’un de ses disciples, celui qui allait le livrer, dit alors : "Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum pour trois cents pièces d’argent, que l’on aurait données à des pauvres ?" Il parla ainsi, non par souci des pauvres, mais parce que c’était un voleur : comme il tenait la bourse commune, il prenait ce que l’on y mettait. Jésus lui dit : "Laisse-la observer cet usage en vue du jour de mon ensevelissement ! Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, mais moi, vous ne m’aurez pas toujours." Or, une grande foule de Juifs apprit que Jésus était là, et ils arrivèrent, non seulement à cause de Jésus, mais aussi pour voir ce Lazare qu’il avait réveillé d’entre les morts. Les grands prêtres décidèrent alors de tuer aussi Lazare, parce que beaucoup de Juifs, à cause de lui, s’en allaient, et croyaient en Jésus.

Dès le matin, les grands prêtres convoquèrent les anciens et les scribes, et tout le Conseil suprême. Puis, après avoir ligoté Jésus, ils l’emmenèrent et le livrèrent à Pilate. Celui-ci l’interrogea :

  • "Es-tu le roi des Juifs ?"

Jésus répondit :

  • "C’est toi-même qui le dis."

Les grands prêtres multipliaient contre lui les accusations. Pilate lui demanda à nouveau :

  • "Tu ne réponds rien ? Vois toutes les accusations qu’ils portent contre toi."

Mais Jésus ne répondit plus rien, si bien que Pilate fut étonné. À chaque fête, il leur relâchait un prisonnier, celui qu’ils demandaient. Or, il y avait en prison un dénommé Barabbas, arrêté avec des émeutiers pour un meurtre qu’ils avaient commis lors de l’émeute. La foule monta donc chez Pilate, et se mit à demander ce qu’il leur accordait d’habitude. Pilate leur répondit :

  • "Voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs ?"

Il se rendait bien compte que c’était par jalousie que les grands prêtres l’avaient livré. Ces derniers soulevèrent la foule pour qu’il leur relâche plutôt Barabbas. Et comme Pilate reprenait :

  • "Que voulez-vous donc que je fasse de celui que vous appelez le roi des Juifs ?",

de nouveau ils crièrent :

  • "Crucifie-le !"

Pilate leur disait :

  • "Qu’a-t-il donc fait de mal ?"

Mais ils crièrent encore plus fort :

  • "Crucifie-le !"

Pilate, voulant contenter la foule, relâcha Barabbas et, après avoir fait flageller Jésus, il le livra pour qu’il soit crucifié. Les soldats l’emmenèrent à l’intérieur du palais, c’est-à-dire dans le Prétoire. Alors ils rassemblent toute la garde, ils le revêtent de pourpre, et lui posent sur la tête une couronne d’épines qu’ils ont tressée. Puis ils se mirent à lui faire des salutations, en disant :

  • "Salut, roi des Juifs !"

Ils lui frappaient la tête avec un roseau, crachaient sur lui, et s’agenouillaient pour lui rendre hommage. Quand ils se furent bien moqués de lui, ils lui enlevèrent le manteau de pourpre, et lui remirent ses vêtements.

Puis, de là, ils l’emmènent pour le crucifier, et ils réquisitionnent, pour porter sa croix, un passant, Simon de Cyrène, le père d’Alexandre et de Rufus, qui revenait des champs. Et ils amènent Jésus au lieu dit Golgotha, ce qui se traduit : Lieu-du-Crâne (ou Calvaire). Ils lui donnaient du vin aromatisé de myrrhe ; mais il n’en prit pas. Alors ils le crucifient, puis se partagent ses vêtements, en tirant au sort pour savoir la part de chacun. C’était la troisième heure (c’est-à-dire : neuf heures du matin) lorsqu’on le crucifia. L’inscription indiquant le motif de sa condamnation portait ces mots : "Le roi des Juifs". Avec lui ils crucifient deux bandits, l’un à sa droite, l’autre à sa gauche. Les passants l’injuriaient en hochant la tête ; ils disaient :

  • "Hé ! toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même, descends de la croix !"

De même, les grands prêtres se moquaient de lui avec les scribes, en disant entre eux :

  • "Il en a sauvé d’autres, et il ne peut pas se sauver lui-même ! Qu’il descende maintenant de la croix, le Christ, le roi d’Israël ; alors nous verrons et nous croirons."

Même ceux qui étaient crucifiés avec lui l’insultaient. Quand arriva la sixième heure (c’est-à-dire : midi), l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure. Et à la neuvième heure, Jésus cria d’une voix forte :

  • "Éloï, Éloï, lema sabactani ?",

ce qui se traduit :

  • "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?"

L’ayant entendu, quelques-uns de ceux qui étaient là disaient :

  • "Voilà qu’il appelle le prophète Élie !"

L’un d’eux courut tremper une éponge dans une boisson vinaigrée, il la mit au bout d’un roseau, et il lui donnait à boire, en disant :

  • "Attendez ! Nous verrons bien si Élie vient le descendre de là !"

Mais Jésus, poussant un grand cri, expira.

Le rideau du Sanctuaire se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas. Le centurion qui était là en face de Jésus, voyant comment il avait expiré, déclara :

  • "Vraiment, cet homme était Fils de Dieu !"

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