Les familles ont besoin de femmes saines et fortes. Les femmes sont les piliers du foyer, de la société et de la nation. Signes qu'une femme est confuse ou a un problème: Confusion, anxiété, étourdissements inexpliqués, stress, spasmophilie, perte de connaissance, insomnie. La gestion du temps est la solution en plus des aliments et des comportements, manger des aliments riches en glucose, boir de l'eau et faire des exercices de respirations...

Dimanche 7 mars 2021 — Troisième dimanche de Carême — Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que ceux qui croient en lui aient la vie éternelle — Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 2, 13-25

Riziculture des hautes terres centrales : la déficience en phosphore résolue. La P-Dipping est aujourd'hui en phase de test à Behenjy, dans le district d'Ambatolampy, région du Vakinankaratra. Une scéance de démonstration a eu lieu le 26 février dernier... 

Avoir des femmes est un grand avantage pour les familles, dont le cœur bat pour lui donner de l'amour. Penser à l'avenir "pour lui et sa famille". Toutes ses activités sont dédiées à l'environnement. Utiliser des réchauds économiques pour éviter la déforestation, recyclage des déchets pour réduire les dépenses. Elle élève également ses enfants au respect de l'environnement...

La propagation de la dune dans de nombreux villages est un problème pour les habitants de la commune d'Anjapaly, dans la région d'Anosy ce qui est préjudiciable à l'agriculture. De dunes excessives provoquent la migration des gens. Les résidents ont travaillé avec le CRS pour contrôler la propagation du sable par le reboisement et plantation des épinards. Il y a 12 espèces de stenophis. Des animaux retrouvés sur l'île depuis 1880, dans de nombreuse régions...

En ce temps-là, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L’ange entra chez elle et dit : "Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi." À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L’ange lui dit alors : "Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin." Marie dit à l’ange : "Comment cela va-t-il se faire, puisque je ne connais pas d’homme ?" L’ange lui répondit : "L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile. Car rien n’est impossible à Dieu." Marie dit alors : "Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole." Alors l’ange la quitta.

En ce temps-là, Jésus disait à ceux des Juifs qui croyaient en lui : "Si vous demeurez fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; alors vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres." Ils lui répliquèrent : "Nous sommes la descendance d’Abraham, et nous n’avons jamais été les esclaves de personne. Comment peux-tu dire : "Vous deviendrez libres" ?" Jésus leur répondit : "Amen, amen, je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché. L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils, lui, y demeure pour toujours. Si donc le Fils vous rend libres, réellement vous serez libres. Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham, et pourtant vous cherchez à me tuer, parce que ma parole ne trouve pas sa place en vous. Je dis ce que moi, j’ai vu auprès de mon Père, et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu chez votre père." Ils lui répliquèrent : "Notre père, c’est Abraham." Jésus leur dit : "Si vous étiez les enfants d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham. Mais maintenant, vous cherchez à me tuer, moi, un homme qui vous ai dit la vérité que j’ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l’a pas fait. Vous, vous faites les œuvres de votre père." Ils lui dirent : "Nous ne sommes pas nés de la prostitution ! Nous n’avons qu’un seul Père : c’est Dieu." Jésus leur dit : "Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez, car moi, c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens. Je ne suis pas venu de moi-même ; c’est lui qui m’a envoyé."

En ce temps-là,Jésus disait aux Pharisiens : "Je m’en vais ; vous me chercherez, et vous mourrez dans votre péché. Là où moi je vais, vous ne pouvez pas aller." Les Juifs disaient : "Veut-il donc se donner la mort, puisqu’il dit : "Là où moi je vais, vous ne pouvez pas aller" ?" Il leur répondit : "Vous, vous êtes d’en bas ; moi, je suis d’en haut. Vous, vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. C’est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés. En effet, si vous ne croyez pas que moi, JE SUIS, vous mourrez dans vos péchés." Alors, ils lui demandaient : "Toi, qui es-tu ?" Jésus leur répondit : "Je n’ai pas cessé de vous le dire. À votre sujet, j’ai beaucoup à dire et à juger. D’ailleurs Celui qui m’a envoyé dit la vérité, et ce que j’ai entendu de lui, je le dis pour le monde." Ils ne comprirent pas qu’il leur parlait du Père. Jésus leur déclara : "Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous comprendrez que moi, JE SUIS, et que je ne fais rien de moi-même ; ce que je dis là, je le dis comme le Père me l’a enseigné. Celui qui m’a envoyé est avec moi ; il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable." Sur ces paroles de Jésus, beaucoup crurent en lui.

En ce temps-là, Jésus disait aux pharisiens : "Moi, je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la lumière de la vie." Les pharisiens lui dirent alors : "Tu te rends témoignage à toi-même, ce n’est donc pas un vrai témoignage." Jésus leur répondit : "Oui, moi, je me rends témoignage à moi-même, et pourtant mon témoignage est vrai, car je sais d’où je suis venu, et où je vais ; mais vous, vous ne savez ni d’où je viens, ni où je vais. Vous, vous jugez de façon purement humaine. Moi, je ne juge personne. Et, s’il m’arrive de juger, mon jugement est vrai parce que je ne suis pas seul : j’ai avec moi le Père, qui m’a envoyé. Or, il est écrit dans votre Loi que, s’il y a deux témoins, c’est un vrai témoignage. Moi, je suis à moi-même mon propre témoin, et le Père, qui m’a envoyé, témoigne aussi pour moi." Les pharisiens lui disaient : "Où est-il, ton père ?" Jésus répondit : "Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père." Il prononça ces paroles alors qu’il enseignait dans le Temple, à la salle du Trésor. Et personne ne l’arrêta, parce que son heure n’était pas encore venue.

En ce temps-là, Jésus s’en alla au mont des Oliviers. Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner. Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : "Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ?" Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre. Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : "Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre." Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre. Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : "Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ?" Elle répondit : "Personne, Seigneur." Et Jésus lui dit : "Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus."

En ce temps-là, il y avait quelques Grecs parmi ceux qui étaient montés à Jérusalem pour adorer Dieu pendant la fête de la Pâque. Ils abordèrent Philippe, qui était de Bethsaïde en Galilée, et lui firent cette demande : "Nous voudrions voir Jésus." Philippe va le dire à André, et tous deux vont le dire à Jésus. Alors Jésus leur déclare : "L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié. Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera. Maintenant mon âme est bouleversée. Que vais-je dire ? “Père, sauve-moi de cette heure” ? – Mais non ! C’est pour cela que je suis parvenu à cette heure-ci ! Père, glorifie ton nom !" Alors, du ciel vint une voix qui disait : "Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore." En l’entendant, la foule qui se tenait là disait que c’était un coup de tonnerre. D’autres disaient : "C’est un ange qui lui a parlé." Mais Jésus leur répondit : "Ce n’est pas pour moi qu’il y a eu cette voix, mais pour vous. Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde va être jeté dehors ; et moi, quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai à moi tous les hommes." Il signifiait par là de quel genre de mort il allait mourir.

En ce temps-là, Jésus enseignait au temple de Jérusalem. Dans la foule, on avait entendu ses paroles, et les uns disaient : "C’est vraiment lui, le Prophète annoncé !" D’autres disaient : "C’est lui le Christ !" Mais d’autres encore demandaient : "Le Christ peut-il venir de Galilée ? L’Écriture ne dit-elle pas que c’est de la descendance de David et de Bethléem, le village de David, que vient le Christ ?" C’est ainsi que la foule se divisa à cause de lui. Quelques-uns d’entre eux voulaient l’arrêter, mais personne ne mit la main sur lui. Les gardes revinrent auprès des grands prêtres et des pharisiens, qui leur demandèrent : "Pourquoi ne l’avez-vous pas amené ?" Les gardes répondirent : "Jamais un homme n’a parlé de la sorte !" Les pharisiens leur répliquèrent : "Alors, vous aussi, vous vous êtes laissé égarer ? Parmi les chefs du peuple et les pharisiens, y en a-t-il un seul qui ait cru en lui ? Quant à cette foule qui ne sait rien de la Loi, ce sont des maudits !" Nicodème, l’un d’entre eux, celui qui était allé précédemment trouver Jésus, leur dit : "Notre Loi permet-elle de juger un homme sans l’entendre d’abord pour savoir ce qu’il a fait ?" Ils lui répondirent : "Serais- tu, toi aussi, de Galilée ? Cherche bien, et tu verras que jamais aucun prophète ne surgit de Galilée !" Puis ils s’en allèrent chacun chez soi.

L'Esprit de vérité vous guidera dans toute la vérité

À l'issue de sa deuxième Assemblée Générale qui s'est tenue du 15 au 18 octobre 2024, la Commission épiscopale Justice et Paix a adressé un message aux responsables étatiques à tous les niveaux, ainsi qu'à tous les Malagasy et à toutes les personnes de bonne volonté.

Lire la suite...

Noël est vraiment jour de grâce, si...

Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.

Lire la suite...

Zatti, notre frère

Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.

Lire la suite...