En ce temps-là,
en cours de route, un homme dit à Jésus :
"Je te suivrai partout où tu iras."
Jésus lui déclara :
"Les renards ont des terriers,
les oiseaux du ciel ont des nids ;
mais le Fils de l’homme
n’a pas d’endroit où reposer la tête."

Il dit à un autre :
"Suis-moi."
L’homme répondit :
"Seigneur, permets-moi d’aller d’abord enterrer mon père."
Mais Jésus répliqua :
"Laisse les morts enterrer leurs morts.
Toi, pars, et annonce le règne de Dieu."

Un autre encore lui dit :
"Je te suivrai, Seigneur ;
mais laisse-moi d’abord faire mes adieux
aux gens de ma maison."
Jésus lui répondit :
"Quiconque met la main à la charrue,
puis regarde en arrière,
n’est pas fait pour le royaume de Dieu."

En ce temps-là,
la mère et les frères de Jésus vinrent le trouver,
mais ils ne pouvaient pas arriver jusqu’à lui
à cause de la foule.
On le lui fit savoir :
"Ta mère et tes frères sont là dehors,
qui veulent te voir."
Il leur répondit :
"Ma mère et mes frères
sont ceux qui écoutent la parole de Dieu,
et qui la mettent en pratique."

En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
"Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose
est digne de confiance aussi dans une grande.
Celui qui est malhonnête dans la moindre chose
est malhonnête aussi dans une grande.
Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête,
qui vous confiera le bien véritable ?
Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance,
ce qui vous revient, qui vous le donnera ?
Aucun domestique ne peut servir deux maîtres :
ou bien il haïra l’un et aimera l’autre,
ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre.
Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent."

En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
"Un homme riche avait un gérant
qui lui fut dénoncé comme dilapidant ses biens.
Il le convoqua et lui dit :
‘Qu’est-ce que j’apprends à ton sujet ?
Rends-moi les comptes de ta gestion,
car tu ne peux plus être mon gérant.’
Le gérant se dit en lui-même :
‘Que vais-je faire,
puisque mon maître me retire la gestion ?
Travailler la terre ? Je n’en ai pas la force.
Mendier ? J’aurais honte.
Je sais ce que je vais faire,
pour qu’une fois renvoyé de ma gérance,
des gens m’accueillent chez eux.’
Il fit alors venir, un par un,
ceux qui avaient des dettes envers son maître.
Il demanda au premier :
‘Combien dois-tu à mon maître ?’
Il répondit :
‘Cent barils d’huile.’
Le gérant lui dit :
‘Voici ton reçu ;
vite, assieds-toi et écris cinquante.’
Puis il demanda à un autre :
‘Et toi, combien dois-tu ?’
Il répondit :
‘Cent sacs de blé.’
Le gérant lui dit :
‘Voici ton reçu, écris quatre-vingt’.

Le maître fit l’éloge de ce gérant malhonnête
car il avait agi avec habileté ;
en effet, les fils de ce monde sont plus habiles entre eux
que les fils de la lumière.
Eh bien moi, je vous le dis :
Faites-vous des amis avec l’argent malhonnête,
afin que, le jour où il ne sera plus là,
ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles.

Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose
est digne de confiance aussi dans une grande.
Celui qui est malhonnête dans la moindre chose
est malhonnête aussi dans une grande.
Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête,
qui vous confiera le bien véritable ?
Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance,
ce qui vous revient, qui vous le donnera ?
Aucun domestique ne peut servir deux maîtres :
ou bien il haïra l’un et aimera l’autre,
ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre.
Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent."

En ce temps-là,
lorsqu’ils présentèrent Jésus au Temple,
le père et la mère de l’enfant
s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit,
puis il dit à Marie sa mère :
"Voici que cet enfant
provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
Il sera un signe de contradiction
– et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – :
ainsi seront dévoilées
les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre."

En ce temps-là,
Jésus se rendit dans une ville appelée Naïm.
Ses disciples faisaient route avec lui, ainsi qu’une grande foule.
Il arriva près de la porte de la ville
au moment où l’on emportait un mort pour l’enterrer ;
c’était un fils unique, et sa mère était veuve.
Une foule importante de la ville accompagnait cette femme.
Voyant celle-ci, le Seigneur fut saisi de compassion pour elle
et lui dit :
"Ne pleure pas."
Il s’approcha et toucha le cercueil ;
les porteurs s’arrêtèrent,
et Jésus dit :
"Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi."
Alors le mort se redressa
et se mit à parler.
Et Jésus le rendit à sa mère.

La crainte s’empara de tous,
et ils rendaient gloire à Dieu en disant :
"Un grand prophète s’est levé parmi nous,
et Dieu a visité son peuple."
Et cette parole sur Jésus se répandit
dans la Judée entière et dans toute la région.

L'emplacement du rein : derrière l'abdomen, à gauche et à droite de la colonne vertébrale. Un être-humain a généralement deux reins, mais il y a ceux qui n'en ont qu'un, mais cet organe fonctionne bien. La fonction des reins : filtrer les éléments transportés par le sang, équilibrer les besoins en eau, conserver les minéraux nécessaires à l'organisme, équilibrer l'acide nécessaire à l'organisme, produire des hormones. Symptômes de la maladie rénale  : urines sanglantes, mictions, sensation de fatigue, douleurs abdominales ou dorsales, douleurs articulaires, mictions fréquentes...

L'emplacement du rein : derrière l'abdomen, à gauche et à droite de la colonne vertébrale. Un être-humain a généralement deux reins, mais il y a ceux qui n'en ont qu'un, mais cet organe fonctionne bien. La fonction des reins : filtrer les éléments transportés par le sang, équilibrer les besoins en eau, conserver les minéraux nécessaires à l'organisme, équilibrer l'acide nécessaire à l'organisme, produire des hormones. Symptômes de la maladie rénale  : urines sanglantes, mictions, sensation de fatigue, douleurs abdominales ou dorsales, douleurs articulaires, mictions fréquentes...

En ce temps-là,
les publicains et les pécheurs
venaient tous à Jésus pour l’écouter.
Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
"Cet homme fait bon accueil aux pécheurs,
et il mange avec eux !"
Alors Jésus leur dit cette parabole :
"Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une,
n’abandonne-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert
pour aller chercher celle qui est perdue,
jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
Quand il l’a retrouvée,
il la prend sur ses épaules, tout joyeux,
et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins
pour leur dire :
‘Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé ma brebis,
celle qui était perdue !’
Je vous le dis :
C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel
pour un seul pécheur qui se convertit,
plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes
qui n’ont pas besoin de conversion.

Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent et qu’elle en perd une,
ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison,
et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ?
Quand elle l’a retrouvée,
elle rassemble ses amies et ses voisines
pour leur dire :
‘Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue !’
Ainsi je vous le dis :
Il y a de la joie devant les anges de Dieu
pour un seul pécheur qui se convertit."

Jésus dit encore :
"Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père :
‘Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.’
Et le père leur partagea ses biens.
Peu de jours après,
le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait,
et partit pour un pays lointain
où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre.
Il avait tout dépensé,
quand une grande famine survint dans ce pays,
et il commença à se trouver dans le besoin.
Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays,
qui l’envoya dans ses champs garder les porcs.
Il aurait bien voulu se remplir le ventre
avec les gousses que mangeaient les porcs,
mais personne ne lui donnait rien.
Alors il rentra en lui-même et se dit :
‘Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance,
et moi, ici, je meurs de faim !
Je me lèverai, j’irai vers mon père,
et je lui dirai :
Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.
Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.’
Il se leva et s’en alla vers son père.
Comme il était encore loin,
son père l’aperçut et fut saisi de compassion ;
il courut se jeter à son cou
et le couvrit de baisers.
Le fils lui dit :
‘Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi.
Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.’
Mais le père dit à ses serviteurs :
‘Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller,
mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds,
allez chercher le veau gras, tuez-le,
mangeons et festoyons,
car mon fils que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ;
il était perdu,
et il est retrouvé.’
Et ils commencèrent à festoyer.

Or le fils aîné était aux champs.
Quand il revint et fut près de la maison,
il entendit la musique et les danses.
Appelant un des serviteurs,
il s’informa de ce qui se passait.
Celui-ci répondit :
‘Ton frère est arrivé,
et ton père a tué le veau gras,
parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.’
Alors le fils aîné se mit en colère,
et il refusait d’entrer.
Son père sortit le supplier.
Mais il répliqua à son père :
‘Il y a tant d’années que je suis à ton service
sans avoir jamais transgressé tes ordres,
et jamais tu ne m’as donné un chevreau
pour festoyer avec mes amis.
Mais, quand ton fils que voilà est revenu
après avoir dévoré ton bien avec des prostituées,
tu as fait tuer pour lui le veau gras !’
Le père répondit :
‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi,
et tout ce qui est à moi est à toi.
Il fallait festoyer et se réjouir ;
car ton frère que voilà était mort,
et il est revenu à la vie ;
il était perdu,
et il est retrouvé !"

En ce temps-là,
Jésus, levant les yeux sur ses disciples, déclara :
"Heureux, vous les pauvres,
car le royaume de Dieu est à vous.
Heureux, vous qui avez faim maintenant,
car vous serez rassasiés.
Heureux, vous qui pleurez maintenant,
car vous rirez.
Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent
et vous excluent,
quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable,
à cause du Fils de l’homme.
Ce jour-là, réjouissez-vous, tressaillez de joie,
car alors votre récompense est grande dans le ciel ;
c’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les prophètes.

Mais quel malheur pour vous, les riches,
car vous avez votre consolation !
Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant,
car vous aurez faim !
Quel malheur pour vous qui riez maintenant,
car vous serez dans le deuil et vous pleurerez !
Quel malheur pour vous
lorsque tous les hommes disent du bien de vous !
C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes."

L'emplacement du pancréas est sur le côté gauche. Le pancréas a deux fonctions : il crée "l'insuline" qui aide les cellules du corps à convertir le sucre, il produit "l'enzyme" qui aide à la digestion. Maladies possibles du pancréas : infection par l'hépatite A, B, C, E, kystes, cancer, stéatose hépatique. Symptômes : Douleur du côté droit, position antalgique et pression vers la gauche, nausées...

Plus de 14 000 boucles d'oreilles des bovins seront placées dans les districts d'Amboasary Atsimo et de Taolagnaro, avant la fin de cette année. 6700 d'entre eux sont pour le district de Taolagnaro tandis que 7900 sont pour Amboasary Atsimo. Cependant, les paysans doivent encore être sensibilisés pour atteindre l'objectif.

L'Esprit de vérité vous guidera dans toute la vérité

À l'issue de sa deuxième Assemblée Générale qui s'est tenue du 15 au 18 octobre 2024, la Commission épiscopale Justice et Paix a adressé un message aux responsables étatiques à tous les niveaux, ainsi qu'à tous les Malagasy et à toutes les personnes de bonne volonté.

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