Émission "promotion féminine" en collaboration avec Mme Margo. Les dons accordées pour les enseignants ne doivent pas interférer avec la gestion et l'éducation des étudiants. L’éveil de l’amour n’a pas de modèle ni d’âge limité, mais chacun a ses propres sentiments. En élevant des enfants, les parents ou les responsables doivent faire un effort pour ne pas mentir sur la possibilité de réaliser quelque chose. Les parents et les enseignants devraient toujours être un exemple...
Premier livre de Samuel (1 S 18, 6-9 ; 19, 1-7)
En ces jours-là,
au retour de l’armée,
lorsque David revint après avoir tué le Philistin,
les femmes sortirent de toutes les villes d’Israël
à la rencontre du roi Saül
pour chanter et danser au son des tambourins,
des cris de joie et des cymbales.
Les femmes dansaient en se renvoyant ce refrain :
“Saül a tué ses milliers,
et David, ses dizaines de milliers.”
Saül le prit très mal et fut très irrité.
Il disait :
“À David on attribue les dizaines de milliers,
et à moi les milliers ;
il ne lui manque plus que la royauté !”
Depuis ce jour-là, Saül regardait David avec méfiance.
Saül dit à son fils Jonathan et à tous ses serviteurs
son intention de faire mourir David.
Mais Jonathan, le fils de Saül, aimait beaucoup David
et il alla le prévenir :
“Mon père Saül cherche à te faire mourir.
Demain matin, sois sur tes gardes,
mets-toi à l’abri, dissimule-toi.
Moi, je sortirai et je me tiendrai à côté de mon père
dans le champ où tu seras.
Je parlerai de toi à mon père,
je verrai ce qu’il en est et je te le ferai savoir.”
Jonathan fit à son père Saül l’éloge de David ;
il dit :
“Que le roi ne commette pas de faute
contre son serviteur David,
car lui n’a commis aucune faute envers toi.
Au contraire, ses exploits sont une très bonne chose pour toi.
Il a risqué sa vie, il a frappé à mort Goliath le Philistin,
et le Seigneur a donné une grande victoire à tout Israël :
tu l’as vu et tu en as été heureux.
Pourquoi donc commettre une faute
contre la vie d’un innocent,
en faisant mourir David sans motif ?”
Saül écouta Jonathan et fit ce serment :
“Par le Seigneur vivant,
il ne sera pas mis à mort !”
Alors Jonathan appela David
et lui répéta tout ce que le roi avait dit.
Puis il le conduisit à Saül,
et David reprit sa place comme avant.
— Parole du Seigneur.
Ps 55 (56), 2-3. 9ab-10. 11a. 12. 13-14ab
Pitié, mon Dieu ! Des hommes s’acharnent contre moi ;
tout le jour, ils me combattent, ils me harcèlent.
Ils s’acharnent, ils me guettent tout le jour ;
mais là-haut, une armée combat pour moi.
Toi qui comptes mes pas vagabonds,
recueille en tes outres mes larmes.
Le jour où j’appellerai, mes ennemis reculeront ;
je le sais, Dieu est pour moi.
Sur Dieu dont j’exalte la parole,
sur Dieu, je prends appui :
plus rien ne me fait peur !
Que peuvent sur moi des humains ?
Mon Dieu, je tiendrai ma promesse,
je t’offrirai des sacrifices d’action de grâce ;
car tu m’as délivré de la mort
et tu préserves mes pieds de la chute.
Alléluia. Alléluia.
Notre Sauveur, le Christ Jésus, a détruit la mort ; il a fait resplendir la vie par l’Évangile.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 3, 7-12)
En ce temps-là,
Jésus se retira avec ses disciples près de la mer,
et une grande multitude de gens, venus de la Galilée, le suivirent.
De Judée, de Jérusalem, d’Idumée, de Transjordanie,
et de la région de Tyr et de Sidon
vinrent aussi à lui une multitude de gens
qui avaient entendu parler de ce qu’il faisait.
Il dit à ses disciples de tenir une barque à sa disposition
pour que la foule ne l’écrase pas.
Car il avait fait beaucoup de guérisons,
si bien que tous ceux qui souffraient de quelque mal
se précipitaient sur lui pour le toucher.
Et lorsque les esprits impurs le voyaient,
ils se jetaient à ses pieds et criaient :
“Toi, tu es le Fils de Dieu !”
Mais il leur défendait vivement de le faire connaître.
— Acclamons la Parole de Dieu.
Premier livre de Samuel (1 S 17, 32-33. 37. 40-51)
En ces jours-là,
le Philistin Goliath venait tous les jours défier l’armée d’Israël.
David dit à Saül :
“Que personne ne perde courage à cause de ce Philistin.
Moi, ton serviteur, j’irai me battre avec lui.”
Saül répondit à David :
“Tu ne peux pas marcher contre ce Philistin pour lutter avec lui,
car tu n’es qu’un enfant,
et lui, c’est un homme de guerre depuis sa jeunesse.”
David insista :
“Le Seigneur, qui m’a délivré des griffes du lion et de l’ours,
me délivrera des mains de ce Philistin.”
Alors Saül lui dit :
“Va, et que le Seigneur soit avec toi !”
David prit en main son bâton,
il se choisit dans le torrent cinq cailloux bien lisses
et les mit dans son sac de berger, dans une poche ;
puis, la fronde à la main, il s’avança vers le Philistin.
Le Philistin se mit en marche
et, précédé de son porte-bouclier, approcha de David.
Lorsqu’il le vit, il le regarda avec mépris
car c’était un jeune garçon ; il était roux et de belle apparence.
Le Philistin lui dit :
“Suis-je donc un chien,
pour que tu viennes contre moi avec un bâton ?”
Puis il le maudit en invoquant ses dieux.
Il dit à David :
“Viens vers moi,
que je te donne en pâture
aux oiseaux du ciel et aux bêtes sauvages !”
David lui répondit :
“Tu viens contre moi
avec épée, lance et javelot,
mais moi, je viens contre toi
avec le nom du Seigneur des armées,
le Dieu des troupes d’Israël que tu as défié.
Aujourd’hui le Seigneur va te livrer entre mes mains,
je vais t’abattre, te trancher la tête,
donner aujourd’hui même les cadavres de l’armée philistine
aux oiseaux du ciel et aux bêtes de la terre.
Toute la terre saura qu’il y a un Dieu pour Israël,
et tous ces gens rassemblés sauront que le Seigneur
ne donne la victoire ni par l’épée ni par la lance,
mais que le Seigneur est maître du combat,
et qu’il vous livre entre nos mains.”
Goliath s’était dressé, s’était mis en marche
et s’approchait à la rencontre de David.
Celui-ci s’élança et courut vers les lignes des ennemis
à la rencontre du Philistin.
Il plongea la main dans son sac,
et en retira un caillou qu’il lança avec sa fronde.
Il atteignit le Philistin au front,
le caillou s’y enfonça,
et Goliath tomba face contre terre.
Ainsi David triompha du Philistin avec une fronde et un caillou :
quand il frappa le Philistin et le mit à mort,
il n’avait pas d’épée à la main.
Mais David courut ;
arrivé près du Philistin, il lui prit son épée, qu’il tira du fourreau,
et le tua en lui coupant la tête.
Quand les Philistins virent que leur héros était mort,
ils prirent la fuite.
— Parole du Seigneur.
Ps 143 (144), 1. 2. 9-10
Béni soit le Seigneur, mon rocher !
Il exerce mes mains pour le combat,
il m’entraîne à la bataille.
Il est mon allié, ma forteresse,
ma citadelle, celui qui me libère ;
il est le bouclier qui m’abrite,
il me donne pouvoir sur mon peuple.
Pour toi, je chanterai un chant nouveau,
pour toi, je jouerai sur la harpe à dix cordes,
pour toi qui donnes aux rois la victoire
et sauves de l’épée meurtrière David, ton serviteur.
Alléluia. Alléluia.
Jésus proclamait l’Évangile du Royaume et guérissait toute infirmité dans le peuple.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 3, 1-6)
En ce temps-là,
Jésus entra dans une synagogue ;
il y avait là un homme dont la main était atrophiée.
On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat.
C’était afin de pouvoir l’accuser.
Il dit à l’homme qui avait la main atrophiée :
“Lève-toi, viens au milieu.”
Et s’adressant aux autres :
“Est-il permis, le jour du sabbat,
de faire le bien ou de faire le mal ?
de sauver une vie ou de tuer ?”
Mais eux se taisaient.
Alors, promenant sur eux un regard de colère,
navré de l’endurcissement de leurs cœurs,
il dit à l’homme :
“Étends la main.”
Il l’étendit, et sa main redevint normale.
Une fois sortis, les pharisiens se réunirent en conseil
avec les partisans d’Hérode
contre Jésus, pour voir comment le faire périr.
— Acclamons la Parole de Dieu.
Les gens doivent travailler parce qu’ils sont motivés par leurs besoins et ceux de leur famille, car ceux qui font preuve de diligence auront ce dont ils ont besoin. Il faut bien faire le travail. Il n'y a pas de sot métier, si c'est bien fait. Chaque type de travail est bien montré et vécu en le préparant et en le faisant bien car il sert à montrer que chacun aime son travail. Catéchèse sur l'Église, la famille et le développement, en collaboration avec le P. Bertrand Ratovoalinirina.
Chers frères et sœurs dans le Christ, Vous qui êtes venus en si grand nombre participer à ce pèlerinage national, ainsi que vous tous qui suivez chez vous par les médias. Nous, évêques de Madagascar, nous vous adressons notre profonde gratitude pour avoir répondu à notre invitation et pour avoir fait vivre spirituellement ce jubilé initié par le Pape François. Avec vous, nous reprenons le chant de Marie : « Mon âme exalte le Seigneur » et nous redisons avec elle : "Que rendrai-je au Seigneur pour tout le bien qu’il m’a fait ?"....
Lire la suite...Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.
Lire la suite...Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.
Lire la suite...© 2025 Radio Don Bosco