Par le semis "Saraka" nous pouvons obtenir 10 tonnes par hectare en appliquant cette technique de culture du riz qu'il a étudiée, a déclaré le général Rabemanantsoa Robert. Les épis de riz poussent biens dans les champs du général en ce mois d'avril. Bientôt, il récoltera une moisson. Officier supérieur à la retraite qui occupait à l'époque un poste élevé dans l'armée malgache ; intéressé par la culture du riz.

Le général Rabemanantsoa Robert a prouvé que ce n'est pas le changement de climat qui sera l'obstacle et le problème de ne pas produire, mais il faut avoir un esprit curieux pour affiner la technologie de production afin de pouvoir obtenir de bons résultats. Il a appliqué les recherches qu'il avait faites, à savoir le semis saraka. C'est une technique qu'il a imaginée en collaboration et en discussion avec le Père Henry de Laulanier, mais qu'il a ensuite améliorée et qu'il a appliquée pendant trois années de récolte consécutives.

Le rendement en riz du général Rabemanantsoa Robert était de 15 tonnes par hectare la première année de plantation et on pense qu'il ne sera pas inférieur cette année. Il l'a repiqué en novembre et il a utilisé le semis saraka. Le riz repiqué était arrosé jusqu'à ce qu'il pleuve. Le lombricompost a également été utilisé, ce qui a considérablement stimulé la récolte de riz. La hauteur du riz dans la rizière est supérieure à une personne.

Ce semis saraka est parallèle aux connaissances sur la vie du riz. Les agriculteurs doivent savoir quelle est la durée de vie du riz s'ils veulent augmenter le rendement du riz et le général Rabemanantsoa Robert sera incité à appliquer la technique. C'est un problème qui doit encore être résolu à Madagascar.

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