5 juin 2024 — Mercredi, Neuvième Semaine du Temps Ordinaire — Moi, je suis la résurrection et la vie, dit le Seigneur. Celui qui croit en moi ne mourra jamais — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 18-27)
Ceux qui prient sont plus dévoués à Dieu ; non seulement cela, mais la prière est déjà un prélude à la vie ensemble avec Dieu, car seuls ceux qui ont l'habitude de parler et de se parler peuvent vivre ensemble. Les chrétiens sont des gens qui prient ; apprendre à prier n'est pas une leçon à mémoriser, c'est un don de Dieu, et grâce à la prière, la grâce augmente, elle conduit à la prière. Catéchèse concernant le mystère de la prière, avec P. Aurélien Rarivoson.
4 juin 2024 — Mardi, Neuvième Semaine du Temps Ordinaire — Que le Père de notre Seigneur Jésus Christ ouvre à sa lumière les yeux de notre cœur, pour que nous percevions l’espérance que donne son appel — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 13-17)
Premier livre des Rois (1 R 18, 20-39)
En ces jours-là,
le roi Acab convoqua tout Israël
et réunit les prophètes de Baal sur le mont Carmel.
Élie se présenta devant la foule et dit :
“Combien de temps allez-vous danser
pour l’un et pour l’autre ?
Si c’est le Seigneur qui est Dieu, suivez le Seigneur ;
si c’est Baal, suivez Baal.”
Et la foule ne répondit mot.
Élie continua :
“Moi, je suis le seul qui reste des prophètes du Seigneur,
tandis que les prophètes de Baal sont quatre cent cinquante.
Amenez-nous deux jeunes taureaux ;
qu’ils en choisissent un,
qu’ils le dépècent et le placent sur le bûcher,
mais qu’ils n’y mettent pas le feu.
Moi, je préparerai l’autre taureau,
je le placerai sur le bûcher,
mais je n’y mettrai pas le feu.
Vous invoquerez le nom de votre dieu,
et moi, j’invoquerai le nom du Seigneur :
le dieu qui répondra par le feu,
c’est lui qui est Dieu.”
La foule répondit :
“C’est d’accord.”
Élie dit alors aux prophètes de Baal :
“Choisissez votre taureau et commencez,
car vous êtes les plus nombreux.
Invoquez le nom de votre dieu,
mais ne mettez pas le feu.”
Ils prirent le taureau et le préparèrent,
et ils invoquèrent le nom de Baal
depuis le matin jusqu’au milieu du jour,
en disant :
“ô Baal, réponds-nous !”
Mais il n’y eut ni voix ni réponse ;
et ils dansaient devant l’autel qu’ils avaient dressé.
Au milieu du jour, Élie se moqua d’eux en disant :
“Criez plus fort, puisque c’est un dieu :
il a des soucis ou des affaires,
ou bien il est en voyage ;
il dort peut-être, mais il va se réveiller !”
Ils crièrent donc plus fort
et, selon leur coutume, ils se tailladèrent jusqu’au sang
avec des épées et des lances.
Dans l’après-midi, ils se livrèrent à des transes prophétiques
jusqu’à l’heure du sacrifice du soir,
mais il n’y eut ni voix, ni réponse, ni le moindre signe.
Alors Élie dit à la foule :
“Approchez.”
Et toute la foule s’approcha de lui.
Il releva l’autel du Seigneur, qui avait été démoli.
Il prit douze pierres,
selon le nombre des tribus des fils de Jacob
à qui le Seigneur avait dit :
“Ton nom sera Israël.”
Avec ces pierres il érigea un autel au Seigneur.
Il creusa autour de l’autel
une rigole d’une capacité d’environ trente litres.
Il disposa le bois,
dépeça le taureau et le plaça sur le bûcher.
Puis il dit :
“Emplissez d’eau quatre cruches,
et versez-les sur la victime et sur le bois.”
Et l’on fit ainsi.
Il dit :
“Une deuxième fois !”
Et l’on recommença.
Il dit :
“Une troisième fois !”
Et l’on recommença encore.
L’eau ruissela autour de l’autel,
et la rigole elle-même fut remplie d’eau.
À l’heure du sacrifice du soir,
Élie le prophète s’avança et dit :
“Seigneur, Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël,
on saura aujourd’hui que tu es Dieu en Israël,
que je suis ton serviteur,
et que j’ai accompli toutes ces choses sur ton ordre.
Réponds-moi, Seigneur, réponds-moi,
pour que tout ce peuple sache
que c’est toi, Seigneur, qui es Dieu,
et qui as retourné leur cœur !”
Alors le feu du Seigneur tomba,
il dévora la victime et le bois,
les pierres et la poussière,
et l’eau qui était dans la rigole.
Tout le peuple en fut témoin ;
les gens tombèrent face contre terre et dirent :
“C’est le Seigneur qui est Dieu !
C’est le Seigneur qui est Dieu !”
– Parole du Seigneur.
Ps 15 (16), 1-2. 3ac. 4. 5. 8. 10a. 11
Garde-moi, mon Dieu :
j’ai fait de toi mon refuge.
J’ai dit au Seigneur : “Tu es mon Dieu !
Je n’ai pas d’autre bonheur que toi.”
Toutes les idoles du pays,
ne cessent d’étendre leurs ravages,
Je n’irai pas leur offrir le sang des sacrifices ;
leur nom ne viendra pas sur mes lèvres !
Seigneur, mon partage et ma coupe :
de toi dépend mon sort.
Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ;
il est à ma droite : je suis inébranlable.
Tu ne peux m’abandonner à la mort.
Tu m’apprends le chemin de la vie :
devant ta face, débordement de joie !
À ta droite, éternité de délices !
Alléluia. Alléluia.
Fais-moi connaître ta route, mon Dieu ; dirige-moi par ta vérité.
Alléluia.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu (Mt 5, 17-19)
En ce temps-là,
Jésus disait à ses disciples :
“Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes :
je ne suis pas venu abolir, mais accomplir.
Amen, je vous le dis :
Avant que le ciel et la terre disparaissent,
pas un seul iota, pas un seul trait
ne disparaîtra de la Loi
jusqu’à ce que tout se réalise.
Donc, celui qui rejettera
un seul de ces plus petits commandements,
et qui enseignera aux hommes à faire ainsi,
sera déclaré le plus petit dans le royaume des Cieux.
Mais celui qui les observera et les enseignera,
celui-là sera déclaré grand dans le royaume des Cieux.”
– Acclamons la Parole de Dieu.
À l'issue de sa deuxième Assemblée Générale qui s'est tenue du 15 au 18 octobre 2024, la Commission épiscopale Justice et Paix a adressé un message aux responsables étatiques à tous les niveaux, ainsi qu'à tous les Malagasy et à toutes les personnes de bonne volonté.
Lire la suite...Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.
Lire la suite...Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.
Lire la suite...© 2024 Radio Don Bosco