En ce temps-là, tandis que Jésus parlait aux disciples de Jean le Baptiste, voilà qu’un notable s’approcha. Il se prosternait devant lui en disant : "Ma fille est morte à l’instant ; mais viens lui imposer la main, et elle vivra." Jésus se leva et le suivit, ainsi que ses disciples.
Et voici qu’une femme souffrant d’hémorragies depuis douze ans s’approcha par derrière et toucha la frange de son vêtement. Car elle se disait en elle-même : "Si je parviens seulement à toucher son vêtement, je serai sauvée." Jésus se retourna et, la voyant, lui dit : "Confiance, ma fille ! Ta foi t’a sauvée." Et, à l’heure même, la femme fut sauvée.
Jésus, arrivé à la maison du notable, vit les joueurs de flûte et la foule qui s’agitait bruyamment. Il dit alors : "Retirez-vous. La jeune fille n’est pas morte : elle dort." Mais on se moquait de lui. Quand la foule fut mise dehors, il entra, lui saisit la main, et la jeune fille se leva. Et la nouvelle se répandit dans toute la région.
L'un des Douze, Thomas (dont le nom signifie : Jumeau), n'était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient : "Nous avons vu le Seigneur !" Mais il leur déclara : "Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l'endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas !"
Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d'eux. Il dit : "La paix soit avec vous !" Puis il dit à Thomas : "Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d'être incrédule, sois croyant." Thomas lui dit alors : "Mon Seigneur et mon Dieu !" Jésus lui dit : "Parce que tu m'as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu."
En ce temps-là, Jésus vit, en passant, un homme, du nom de Matthieu, assis à son bureau de collecteur d’impôt. Il lui dit : "Suis-moi." L’homme se leva et le suivit.
Comme Jésus était à table à la maison, voici que beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) et beaucoup de pécheurs vinrent prendre place avec lui et ses disciples. Voyant cela, les pharisiens disaient à ses disciples : "Pourquoi votre maître mange-t-il avec les publicains et les pécheurs ?" Jésus, qui avait entendu, déclara : "Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Allez apprendre ce que signifie : Je veux la miséricorde, non le sacrifice. En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs."
En ce temps-là, Jésus monta en barque, refit la traversée, et alla dans sa ville de Capharnaüm. Et voici qu’on lui présenta un paralysé, couché sur une civière. Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : "Confiance, mon enfant, tes péchés sont pardonnés." Et voici que certains parmi les scribes se disaient : "Celui-là blasphème." Mais Jésus, connaissant leurs pensées, demanda : "Pourquoi avez-vous des pensées mauvaises ? En effet, qu’est-ce qui est le plus facile ? Dire : "Tes péchés sont pardonnés", ou bien dire : "Lève-toi et marche" ? Eh bien ! pour que vous sachiez que le Fils de l’homme a le pouvoir, sur la terre, de pardonner les péchés… – Jésus s’adressa alors au paralysé – lève-toi, prends ta civière, et rentre dans ta maison." Il se leva et rentra dans sa maison. Voyant cela, les foules furent saisies de crainte, et rendirent gloire à Dieu qui a donné un tel pouvoir aux hommes.
À l'issue de sa deuxième Assemblée Générale qui s'est tenue du 15 au 18 octobre 2024, la Commission épiscopale Justice et Paix a adressé un message aux responsables étatiques à tous les niveaux, ainsi qu'à tous les Malagasy et à toutes les personnes de bonne volonté.
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