La famille est une vocation particulière et un don de Dieu, le premier lieu où grandissent l’amour et l’espérance. Comme un jardin, la vie de famille exige soin, amour et patience pour s’épanouir et donner une nouvelle vie à chaque individu. C'est par l'intermédiaire des sacrements, et plus particulièrement du mariage et de l'eucharistie, que Dieu apporte son soutien et sa force aux couples et aux familles. Aujourd'hui, nous sommes appelés à prendre soin des relations, à cultiver la paix et la sainteté au sein de la famille... Émission "Miaina - Mitia" diffusée sur la radio Don Bosco.

L’Église est comme une bergerie, une vigne, une maison à construire, un palais à construire, etc. Dans l’Ancien Testament, le Royaume était souvent décrit en paraboles ; des exemples cités dans l'élevage, l'agriculture, la construction, la famille et le mariage, et ont été préparés dans les livres des Prophètes. Catéchèse sur le Saint-Esprit sanctifie l'Église avec P. Mamiarisoa Modeste Randrianifahanana.

Dans la "PAROLE" il y a un pouvoir caché, nous devons donc être prudents avec les "PAROLE" que nous prononçons : elles peuvent être une bénédiction et elles peuvent être une malédiction. Les paroles sont l’image de Dieu en nous, les humains. Par conséquent, elles devraient être des "PAROLE" d’encouragement qui apportent du bénéfice aux autres, et non du ridicule et de la moquerie. La guerre économique est une grande guerre, alors essayons de valoriser les richesses de notre pays... Emission "Mba ho Vanona" en collaboration avec le Général Désiré Ramakavelo.

La Parole de Dieu est comme une semence semée, et quiconque la reçoit devient enfant de Dieu. Le mystère de la Sainte Église se révèle dans sa fondation. Il existe un lien entre le Royaume de Dieu et Jésus-Christ, comme le confirment ses paroles : "Si je chasse les démons par le doigt de Dieu, alors le Royaume de Dieu est venu vers vous…" Catéchèse sur le Saint-Esprit sanctifie l'Église avec P. Mamiarisoa Modeste Randrianifahanana.

Première lecture

Livre des Actes des Apôtres (Ac 9, 31-42)

L’Église se construisait, réconfortée par l’Esprit Saint.

En ces jours-là,
l’Église était en paix
dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie ;
elle se construisait
et elle marchait dans la crainte du Seigneur ;
réconfortée par l’Esprit Saint,
elle se multipliait.

Or, il arriva que Pierre, parcourant tout le pays,
se rendit aussi chez les fidèles qui habitaient Lod.
Il y trouva un homme du nom d’Énéas,
alité depuis huit ans parce qu’il était paralysé.
Pierre lui dit :

“Énéas, Jésus-Christ te guérit,
lève-toi et fais ton lit toi-même.”

Et aussitôt il se leva.
Alors tous les habitants de Lod et de la plaine de Sarone
purent le voir,
et ils se convertirent en se tournant vers le Seigneur.
Il y avait aussi à Jaffa
une femme disciple du Seigneur nommée Tabitha,
ce qui se traduit : Dorcas (c’est-à-dire : Gazelle).
Elle était riche des bonnes œuvres et des aumônes qu’elle faisait.
Or, il arriva en ces jours-là
qu’elle tomba malade et qu’elle mourut.
Après la toilette funèbre,
on la déposa dans la chambre haute.
Comme Lod est près de Jaffa,
les disciples, apprenant que Pierre s’y trouvait,
lui envoyèrent deux hommes avec cet appel :

“Viens chez nous sans tarder.”

Pierre se mit en route avec eux.
À son arrivée on le fit monter à la chambre haute.
Toutes les veuves en larmes s’approchèrent de lui ;
elles lui montraient les tuniques et les manteaux
confectionnés par Dorcas
quand celle-ci était avec elles.
Pierre mit tout le monde dehors ;
il se mit à genoux et pria ;
puis il se tourna vers le corps, et il dit :

“Tabitha, lève-toi !”

Elle ouvrit les yeux et, voyant Pierre,
elle se redressa et s’assit.
Pierre, lui donnant la main, la fit lever.
Puis il appela les fidèles et les veuves
et la leur présenta vivante.
La chose fut connue dans toute la ville de Jaffa,
et beaucoup crurent au Seigneur.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 115 (116b), 12-13. 14-15. 16ac-17

Comment rendrai-je au Seigneur tout le bien qu’il m’a fait ?

Comment rendrai-je au Seigneur
tout le bien qu’il m’a fait ?
J’élèverai la coupe du salut,
j’invoquerai le nom du Seigneur.

Je tiendrai mes promesses au Seigneur,
oui, devant tout son peuple !
Il en coûte au Seigneur
de voir mourir les siens !

Ne suis-je pas, Seigneur, ton serviteur,
moi, dont tu brisas les chaînes ?
Je t’offrirai le sacrifice d’action de grâce,
j’invoquerai le nom du Seigneur.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Tes paroles, Seigneur, sont esprit et elles sont vie. Tu as les paroles de la vie éternelle.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 60-69)

Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle.

En ce temps-là,
Jésus avait donné un enseignement
dans la synagogue de Capharnaüm.
Beaucoup de ses disciples, qui avaient entendu, déclarèrent :

“Cette parole est rude !
Qui peut l’entendre ?”

Jésus savait en lui-même
que ses disciples récriminaient à son sujet.
Il leur dit :

“Cela vous scandalise ?
Et quand vous verrez le Fils de l’homme
monter là où il était auparavant !…
C’est l’esprit qui fait vivre,
la chair n’est capable de rien.
Les paroles que je vous ai dites sont esprit
et elles sont vie.
Mais il y en a parmi vous qui ne croient pas.”

Jésus savait en effet depuis le commencement
quels étaient ceux qui ne croyaient pas,
et qui était celui qui le livrerait.
Il ajouta :

“Voilà pourquoi je vous ai dit
que personne ne peut venir à moi
si cela ne lui est pas donné par le Père.”

À partir de ce moment, beaucoup de ses disciples s’en retournèrent
et cessèrent de l’accompagner.
Alors Jésus dit aux Douze :

“Voulez-vous partir, vous aussi ?”

Simon-Pierre lui répondit :

“Seigneur, à qui irions-nous ?
Tu as les paroles de la vie éternelle.
Quant à nous, nous croyons,
et nous savons que tu es le Saint de Dieu.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Lecture du livre des Actes des Apôtres (Ac 9, 1-20)

Cet homme est l’instrument que j’ai choisi pour faire parvenir mon nom auprès des nations.

En ces jours-là,
Saul était toujours animé d’une rage meurtrière
contre les disciples du Seigneur.
Il alla trouver le grand prêtre
et lui demanda des lettres pour les synagogues de Damas,
afin que, s’il trouvait des hommes et des femmes
qui suivaient le Chemin du Seigneur,
il les amène enchaînés à Jérusalem.
Comme il était en route et approchait de Damas,
soudain une lumière venant du ciel l’enveloppa de sa clarté.
Il fut précipité à terre ; il entendit une voix qui lui disait :

“Saul, Saul,
pourquoi me persécuter ?”

Il demanda :

“Qui es-tu, Seigneur ?”

La voix répondit :

“Je suis Jésus, celui que tu persécutes.
Relève-toi et entre dans la ville :
on te dira ce que tu dois faire.”

Ses compagnons de route s’étaient arrêtés,
muets de stupeur :
ils entendaient la voix,
mais ils ne voyaient personne.
Saul se releva de terre
et, bien qu’il eût les yeux ouverts, il ne voyait rien.
Ils le prirent par la main
pour le faire entrer à Damas.
Pendant trois jours, il fut privé de la vue
et il resta sans manger ni boire.
Or, il y avait à Damas un disciple nommé Ananie.
Dans une vision, le Seigneur lui dit :

“Ananie !”

Il répondit :

“Me voici, Seigneur.”

Le Seigneur reprit :

“Lève-toi, va dans la rue appelée rue Droite, chez Jude :
tu demanderas un homme de Tarse nommé Saul.
Il est en prière, et il a eu cette vision :
un homme, du nom d’Ananie,
entrait et lui imposait les mains
pour lui rendre la vue.”

Ananie répondit :

“Seigneur, j’ai beaucoup entendu parler de cet homme,
et de tout le mal qu’il a fait subir à tes fidèles à Jérusalem.
Il est ici, après avoir reçu de la part des grands prêtres
le pouvoir d’enchaîner tous ceux qui invoquent ton nom.”

Mais le Seigneur lui dit :

“Va ! car cet homme est l’instrument que j’ai choisi
pour faire parvenir mon nom
auprès des nations, des rois et des fils d’Israël.
Et moi, je lui montrerai
tout ce qu’il lui faudra souffrir pour mon nom.”

Ananie partit donc
et entra dans la maison.
Il imposa les mains à Saul, en disant :

“Saul, mon frère,
celui qui m’a envoyé, c’est le Seigneur,
c’est Jésus qui t’est apparu
sur le chemin par lequel tu venais.
Ainsi, tu vas retrouver la vue,
et tu seras rempli d’Esprit Saint.”

Aussitôt tombèrent de ses yeux comme des écailles,
et il retrouva la vue.
Il se leva, puis il fut baptisé.
Alors il prit de la nourriture et les forces lui revinrent.
Il passa quelques jours à Damas avec les disciples
et, sans plus attendre, il proclamait Jésus dans les synagogues,
affirmant que celui-ci est le Fils de Dieu.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 116 (117), 1. 2

Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile.

Louez le Seigneur, tous les peuples ;
fêtez-le, tous les pays !

Son amour envers nous s’est montré le plus fort ;
éternelle est la fidélité du Seigneur !

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi en lui, dit le Seigneur.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 52-59)

Ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.

En ce temps-là,
les Juifs se querellaient entre eux :

“Comment celui-là
peut-il nous donner sa chair à manger ?”

Jésus leur dit alors :

“Amen, amen, je vous le dis :
si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme,
et si vous ne buvez pas son sang,
vous n’avez pas la vie en vous.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang
a la vie éternelle ;
et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
En effet, ma chair est la vraie nourriture,
et mon sang est la vraie boisson.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang
demeure en moi,
et moi, je demeure en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé,
et que moi je vis par le Père,
de même celui qui me mange,
lui aussi vivra par moi.
Tel est le pain qui est descendu du ciel :
il n’est pas comme celui que les pères ont mangé.
Eux, ils sont morts ;
celui qui mange ce pain
vivra éternellement.”

Voilà ce que Jésus a dit
alors qu’il enseignait à la synagogue de Capharnaüm.

— Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Livre des Actes des Apôtres (Ac 8, 26-40)

Voici de l’eau : qu’est- ce qui empêche que je sois baptisé ?

En ces jours-là,
l’ange du Seigneur adressa la parole à Philippe en disant :

“Mets-toi en marche en direction du sud,
prends la route qui descend de Jérusalem à Gaza ;
elle est déserte.”

Et Philippe se mit en marche.
Or, un Éthiopien, un eunuque,
haut fonctionnaire de Candace, la reine d’Éthiopie,
et administrateur de tous ses trésors,
était venu à Jérusalem pour adorer.
Il en revenait, assis sur son char,
et lisait le prophète Isaïe.
L’Esprit dit à Philippe :

“Approche, et rejoins ce char.”

Philippe se mit à courir,
et il entendit l’homme qui lisait le prophète Isaïe ;
alors il lui demanda :

“Comprends-tu ce que tu lis ?”

L’autre lui répondit :

“Et comment le pourrais-je
s’il n’y a personne pour me guider ?”

Il invita donc Philippe à monter et à s’asseoir à côté de lui.
Le passage de l’Écriture qu’il lisait était celui-ci :
Comme une brebis, il fut conduit à l’abattoir ;
comme un agneau muet devant le tondeur,
il n’ouvre pas la bouche.
Dans son humiliation,
il n’a pas obtenu justice.
Sa descendance, qui en parlera ?
Car sa vie est retranchée de la terre.
Prenant la parole, l’eunuque dit à Philippe :

“Dis-moi, je te prie : de qui le prophète parle-t-il ?
De lui-même, ou bien d’un autre ?”

Alors Philippe prit la parole
et, à partir de ce passage de l’Écriture,
il lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.
Comme ils poursuivaient leur route,
ils arrivèrent à un point d’eau,
et l’eunuque dit :

“Voici de l’eau :
qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé ?”

Il fit arrêter le char,
ils descendirent dans l’eau tous les deux,
et Philippe baptisa l’eunuque.
Quand ils furent remontés de l’eau,
l’Esprit du Seigneur emporta Philippe ;
l’eunuque ne le voyait plus,
mais il poursuivait sa route, tout joyeux.
Philippe se retrouva dans la ville d’Ashdod,
il annonçait la Bonne Nouvelle
dans toutes les villes où il passait
jusqu’à son arrivée à Césarée.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 65 (66), 8-9. 16-17. 20

Acclamez Dieu, toute la terre !

Peuples, bénissez notre Dieu !
Faites retentir sa louange,
car il rend la vie à notre âme,
il a gardé nos pieds de la chute.

Venez, écoutez, vous tous qui craignez Dieu :
je vous dirai ce qu’il a fait pour mon âme ;
quand je poussai vers lui mon cri,
ma bouche faisait déjà son éloge.

Béni soit Dieu
qui n’a pas écarté ma prière,
ni détourné de moi son amour !

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Moi, je suis le pain vivant qui est descendu du ciel, dit le Seigneur ; si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 44-51)

Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel.

En ce temps-là,
Jésus disait aux foules :

“Personne ne peut venir à moi,
si le Père qui m’a envoyé ne l’attire,
et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
Il est écrit dans les prophètes :
Ils seront tous instruits par Dieu lui-même.
Quiconque a entendu le Père et reçu son enseignement
vient à moi.
Certes, personne n’a jamais vu le Père,
sinon celui qui vient de Dieu :
celui-là seul a vu le Père.
Amen, amen, je vous le dis :
il a la vie éternelle, celui qui croit.
Moi, je suis le pain de la vie.
Au désert, vos pères ont mangé la manne,
et ils sont morts ;
mais le pain qui descend du ciel
est tel que celui qui en mange ne mourra pas.
Moi, je suis le pain vivant,
qui est descendu du ciel :
si quelqu’un mange de ce pain,
il vivra éternellement.
Le pain que je donnerai, c’est ma chair,
donnée pour la vie du monde.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Livre des Actes des Apôtres (Ac 8, 1b-8)

Ceux qui s’étaient dispersés annonçaient la Bonne Nouvelle de la Parole là où ils passaient.

Le jour de la mort d’Étienne,
éclata une violente persécution
contre l’Église de Jérusalem.
Tous se dispersèrent
dans les campagnes de Judée et de Samarie,
à l’exception des Apôtres.
Des hommes religieux ensevelirent Étienne
et célébrèrent pour lui un grand deuil.
Quant à Saul, il ravageait l’Église,
il pénétrait dans les maisons,
pour en arracher hommes et femmes,
et les jeter en prison.

Ceux qui s’étaient dispersés
annonçaient la Bonne Nouvelle de la Parole
là où ils passaient.
C’est ainsi que Philippe, l’un des Sept,
arriva dans une ville de Samarie,
et là il proclamait le Christ.
Les foules, d’un même cœur,
s’attachaient à ce que disait Philippe,
car elles entendaient parler des signes qu’il accomplissait,
ou même les voyaient.
Beaucoup de possédés étaient délivrés des esprits impurs,
qui sortaient en poussant de grands cris.
Beaucoup de paralysés et de boiteux furent guéris.
Et il y eut dans cette ville une grande joie.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 65 (66), 1-3a. 4-5. 6-7a

Acclamez Dieu, toute la terre !

Acclamez Dieu, toute la terre ;
fêtez la gloire de son nom,
glorifiez-le en célébrant sa louange.
Dites à Dieu : “Que tes actions sont redoutables !

“Toute la terre se prosterne devant toi,
elle chante pour toi, elle chante pour ton nom.”
Venez et voyez les hauts faits de Dieu,
ses exploits redoutables pour les fils des hommes.

Il changea la mer en terre ferme :
ils passèrent le fleuve à pied sec.
De là, cette joie qu’il nous donne.
Il règne à jamais par sa puissance.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Celui qui voit le Fils et croit en lui a la vie éternelle, dit le Seigneur ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 35-40)

Telle est la volonté de mon Père : que celui qui voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle.

En ce temps-là,
Jésus disait aux foules :

“Moi, je suis le pain de la vie.
Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ;
celui qui croit en moi n’aura jamais soif.
Mais je vous l’ai déjà dit :
vous avez vu, et pourtant vous ne croyez pas.
Tous ceux que me donne le Père
viendront jusqu’à moi ;
et celui qui vient à moi,
je ne vais pas le jeter dehors.
Car je suis descendu du ciel
pour faire non pas ma volonté,
mais la volonté de Celui qui m’a envoyé.
Or, telle est la volonté de Celui qui m’a envoyé :
que je ne perde aucun de ceux qu’il m’a donnés,
mais que je les ressuscite au dernier jour.
Telle est la volonté de mon Père :
que celui qui voit le Fils et croit en lui
ait la vie éternelle ;
et moi, je le ressusciterai au dernier jour.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Livre des Actes des Apôtres (Ac 7, 51 — 8, 1a)

Seigneur Jésus, reçois mon esprit.

En ces jours-là,
Étienne disait au peuple, aux anciens et aux scribes :

“Vous qui avez la nuque raide,
vous dont le cœur et les oreilles sont fermés à l’Alliance,
depuis toujours vous résistez à l’Esprit Saint ;
vous êtes bien comme vos pères !
Y a-t-il un prophète que vos pères n’aient pas persécuté ?
Ils ont même tué ceux qui annonçaient d’avance la venue du Juste,
celui-là que maintenant vous venez de livrer et d’assassiner.
Vous qui aviez reçu la loi sur ordre des anges,
vous ne l’avez pas observée.”

Ceux qui écoutaient ce discours
avaient le cœur exaspéré
et grinçaient des dents contre Étienne.
Mais lui, rempli de l’Esprit Saint,
fixait le ciel du regard :
il vit la gloire de Dieu,
et Jésus debout à la droite de Dieu.
Il déclara :

“Voici que je contemple les cieux ouverts
et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu.”

Alors ils poussèrent de grands cris
et se bouchèrent les oreilles.
Tous ensemble, ils se précipitèrent sur lui,
l’entraînèrent hors de la ville
et se mirent à le lapider.
Les témoins avaient déposé leurs vêtements
aux pieds d’un jeune homme appelé Saul.
Étienne, pendant qu’on le lapidait, priait ainsi :

“Seigneur Jésus, reçois mon esprit.”

Puis, se mettant à genoux, il s’écria d’une voix forte :

“Seigneur, ne leur compte pas ce péché.”

Et, après cette parole, il s’endormit dans la mort.
Quant à Saul, il approuvait ce meurtre.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 30 (31), 3bc. 4. 6. 7b. 8a. 17. 20cd

En tes mains, Seigneur, je remets mon esprit.

Sois le rocher qui m’abrite,
la maison fortifiée qui me sauve.
Ma forteresse et mon roc, c’est toi :
pour l’honneur de ton nom, tu me guides et me conduis.

En tes mains je remets mon esprit ;
tu me rachètes, Seigneur, Dieu de vérité.
Moi, je suis sûr du Seigneur.
Ton amour me fait danser de joie.

Sur ton serviteur, que s’illumine ta face ;
sauve-moi par ton amour.
Tu combles, à la face du monde,
ceux qui ont en toi leur refuge.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Moi, je suis le pain de la vie, dit le Seigneur, celui qui vient à moi n’aura jamais faim.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 30-35)

Ce n’est pas Moïse, c’est mon Père qui vous donne le vrai pain venu du ciel.

En ce temps-là,
la foule dit à Jésus :

“Quel signe vas-tu accomplir
pour que nous puissions le voir, et te croire ?
Quelle œuvre vas-tu faire ?
Au désert, nos pères ont mangé la manne ;
comme dit l’Écriture :
Il leur a donné à manger le pain venu du ciel.”

Jésus leur répondit :

“Amen, amen, je vous le dis :
ce n’est pas Moïse
qui vous a donné le pain venu du ciel ;
c’est mon Père
qui vous donne le vrai pain venu du ciel.
Car le pain de Dieu,
c’est celui qui descend du ciel
et qui donne la vie au monde.”

Ils lui dirent alors :

“Seigneur, donne-nous toujours de ce pain-là.”

Jésus leur répondit :

“Moi, je suis le pain de la vie.
Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ;
celui qui croit en moi n’aura jamais soif.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Livre des Actes des Apôtres (Ac 6, 8-15)

Ils ne pouvaient résister à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler.

En ces jours-là,
Étienne, rempli de la grâce et de la puissance de Dieu,
accomplissait parmi le peuple
des prodiges et des signes éclatants.
Intervinrent alors certaines gens de la synagogue dite des Affranchis,
ainsi que des Cyrénéens et des Alexandrins,
et aussi des gens originaires
de Cilicie et de la province d’Asie.
Ils se mirent à discuter avec Étienne,
mais sans pouvoir résister
à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler.
Alors ils soudoyèrent des hommes pour qu’ils disent :

“Nous l’avons entendu prononcer
des paroles blasphématoires
contre Moïse et contre Dieu.”

Ils ameutèrent le peuple, les anciens et les scribes,
et, s’étant saisis d’Étienne à l’improviste,
ils l’amenèrent devant le Conseil suprême.
Ils produisirent de faux témoins, qui disaient :

“Cet individu ne cesse de proférer des paroles
contre le Lieu saint et contre la Loi.
Nous l’avons entendu affirmer
que ce Jésus, le Nazaréen, détruirait le Lieu saint
et changerait les coutumes que Moïse nous a transmises.”

Tous ceux qui siégeaient au Conseil suprême
avaient les yeux fixés sur Étienne,
et ils virent que son visage était comme celui d’un ange.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 118 (119), 23-24. 26-27. 29-30

Heureux ceux qui marchent suivant la loi du Seigneur !

Lorsque des grands accusent ton serviteur,
je médite sur tes ordres.
Je trouve mon plaisir en tes exigences :
ce sont elles qui me conseillent.

J’énumère mes voies : tu me réponds ;
apprends-moi tes commandements.
Montre-moi la voie de tes préceptes,
que je médite sur tes merveilles.

Détourne-moi de la voie du mensonge,
fais-moi la grâce de ta loi.
J’ai choisi la voie de la fidélité,
je m’ajuste à tes décisions.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 6, 22-29)

Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle.

Jésus avait rassasié cinq mille hommes,
et ses disciples l’avaient vu marcher sur la mer.
Le lendemain, la foule restée sur l’autre rive
se rendit compte qu’il n’y avait eu là qu’une seule barque,
et que Jésus n’y était pas monté avec ses disciples,
qui étaient partis sans lui.
Cependant, d’autres barques, venant de Tibériade,
étaient arrivées près de l’endroit où l’on avait mangé le pain
après que le Seigneur eut rendu grâce.
Quand la foule vit que Jésus n’était pas là,
ni ses disciples,
les gens montèrent dans les barques
et se dirigèrent vers Capharnaüm
à la recherche de Jésus.
L’ayant trouvé sur l’autre rive, ils lui dirent :

“Rabbi, quand es-tu arrivé ici ?”

Jésus leur répondit :

“Amen, amen, je vous le dis :
vous me cherchez,
non parce que vous avez vu des signes,
mais parce que vous avez mangé de ces pains
et que vous avez été rassasiés.
Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd,
mais pour la nourriture qui demeure
jusque dans la vie éternelle,
celle que vous donnera le Fils de l’homme,
lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau.”

Ils lui dirent alors :

“Que devons-nous faire
pour travailler aux œuvres de Dieu ?”

Jésus leur répondit :

“L’œuvre de Dieu,
c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Livre des Actes des Apôtres (Ac 5, 27b-32. 40b-41)

Nous sommes les témoins de tout cela avec l’Esprit Saint.

En ces jours-là,
les Apôtres comparaissaient devant le Conseil suprême.
Le grand prêtre les interrogea :

“Nous vous avions formellement interdit
d’enseigner au nom de celui-là,
et voilà que vous remplissez Jérusalem
de votre enseignement.
Vous voulez donc faire retomber sur nous
le sang de cet homme !”

En réponse, Pierre et les Apôtres déclarèrent :

“Il faut obéir à Dieu
plutôt qu’aux hommes.
Le Dieu de nos pères a ressuscité Jésus,
que vous aviez exécuté en le suspendant au bois du supplice.
C’est lui que Dieu, par sa main droite, a élevé,
en faisant de lui le Prince et le Sauveur,
pour accorder à Israël la conversion et le pardon des péchés.
Quant à nous, nous sommes les témoins de tout cela,
avec l’Esprit Saint,
que Dieu a donné à ceux qui lui obéissent.”

Après avoir fait fouetter les Apôtres,
ils leur interdirent de parler au nom de Jésus,
puis ils les relâchèrent.
Quant à eux, quittant le Conseil suprême,
ils repartaient tout joyeux d’avoir été jugés dignes
de subir des humiliations pour le nom de Jésus.

– Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 29 (30), 3-4. 5-6ab. 6cd. 12. 13

Je t’exalte, Seigneur, tu m’as relevé.

Quand j’ai crié vers toi, Seigneur,
mon Dieu, tu m’as guéri ;
Seigneur, tu m’as fait remonter de l’abîme
et revivre quand je descendais à la fosse.

Fêtez le Seigneur, vous, ses fidèles,
rendez grâce en rappelant son nom très saint.
Sa colère ne dure qu’un instant,
sa bonté, toute la vie.

Avec le soir, viennent les larmes,
mais au matin, les cris de joie !
Tu as changé mon deuil en une danse,
mes habits funèbres en parure de joie !

Que mon cœur ne se taise pas,
qu’il soit en fête pour toi ;
et que sans fin, Seigneur, mon Dieu,
je te rende grâce !

Deuxième lecture

Apocalypse de saint Jean (Ap 5, 11-14)

Il est digne, l’Agneau immolé, de recevoir puissance et richesse.

Moi, Jean,
j’ai vu :
et j’entendis la voix d’une multitude d’anges
qui entouraient le Trône, les Vivants et les Anciens ;
ils étaient des myriades de myriades,
par milliers de milliers.
Ils disaient d’une voix forte :

“Il est digne, l’Agneau immolé,
de recevoir puissance et richesse,
sagesse et force,
honneur, gloire et louange.”

Toute créature dans le ciel et sur la terre,
sous la terre et sur la mer,
et tous les êtres qui s’y trouvent,
je les entendis proclamer :

“À celui qui siège sur le Trône, et à l’Agneau,
la louange et l’honneur,
la gloire et la souveraineté
pour les siècles des siècles.”

Et les quatre Vivants disaient :

“Amen !” ;

et les Anciens, se jetant devant le Trône, se prosternèrent.

– Parole du Seigneur.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Le Christ est ressuscité, le Créateur de l’univers, le Sauveur des hommes.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 21, 1-19)

Jésus s’approche ; il prend le pain et le leur donne ; et de même pour le poisson.

En ce temps-là,
Jésus se manifesta encore aux disciples
sur le bord de la mer de Tibériade, et voici comment.
Il y avait là, ensemble, Simon-Pierre,
avec Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau),
Nathanaël, de Cana de Galilée,
les fils de Zébédée,
et deux autres de ses disciples.
Simon-Pierre leur dit :

“Je m’en vais à la pêche.”

Ils lui répondent :

“Nous aussi, nous allons avec toi.”

Ils partirent et montèrent dans la barque ;
or, cette nuit-là, ils ne prirent rien.

Au lever du jour, Jésus se tenait sur le rivage,
mais les disciples ne savaient pas que c’était lui.
Jésus leur dit :

“Les enfants,
auriez-vous quelque chose à manger ?”

Ils lui répondirent :

“Non.”

Il leur dit :

“Jetez le filet à droite de la barque,
et vous trouverez.”

Ils jetèrent donc le filet,
et cette fois ils n’arrivaient pas à le tirer,
tellement il y avait de poissons.
Alors, le disciple que Jésus aimait
dit à Pierre :

“C’est le Seigneur !”

Quand Simon-Pierre entendit que c’était le Seigneur,
il passa un vêtement,
car il n’avait rien sur lui,
et il se jeta à l’eau.
Les autres disciples arrivèrent en barque,
traînant le filet plein de poissons ;
la terre n’était qu’à une centaine de mètres.
Une fois descendus à terre,
ils aperçoivent, disposé là, un feu de braise
avec du poisson posé dessus,
et du pain.
Jésus leur dit :

“Apportez donc de ces poissons que vous venez de prendre.”

Simon-Pierre remonta
et tira jusqu’à terre le filet plein de gros poissons :
il y en avait cent cinquante-trois.
Et, malgré cette quantité, le filet ne s’était pas déchiré.
Jésus leur dit alors :

“Venez manger.”

Aucun des disciples n’osait lui demander :

“Qui es-tu ?”

Ils savaient que c’était le Seigneur.
Jésus s’approche ;
il prend le pain
et le leur donne ;
et de même pour le poisson.
C’était la troisième fois
que Jésus ressuscité d’entre les morts
se manifestait à ses disciples.

Quand ils eurent mangé,
Jésus dit à Simon-Pierre :

“Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment,
plus que ceux-ci ?”

Il lui répond :

“Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime.”

Jésus lui dit :

“Sois le berger de mes agneaux.”

Il lui dit une deuxième fois :

“Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment?”

Il lui répond :

“Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime.”

Jésus lui dit :

“Sois le pasteur de mes brebis.”

Il lui dit, pour la troisième fois :

“Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ?”

Pierre fut peiné
parce que, la troisième fois, Jésus lui demandait :

“M’aimes-tu ?”

Il lui répond :

“Seigneur, toi, tu sais tout :
tu sais bien que je t’aime.”

Jésus lui dit :

“Sois le berger de mes brebis.
Amen, amen, je te le dis :
quand tu étais jeune,
tu mettais ta ceinture toi-même
pour aller là où tu voulais ;
quand tu seras vieux,
tu étendras les mains,
et c’est un autre qui te mettra ta ceinture,
pour t’emmener là où tu ne voudrais pas aller.”

Jésus disait cela pour signifier par quel genre de mort
Pierre rendrait gloire à Dieu.
Sur ces mots, il lui dit :

“Suis-moi.”

– Acclamons la Parole de Dieu.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Le Christ est ressuscité, le Créateur de l’univers, le Sauveur des hommes.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 21, 1-14)

Jésus s’approche ; il prend le pain et le leur donne ; et de même pour le poisson.

En ce temps-là,
Jésus se manifesta encore aux disciples
sur le bord de la mer de Tibériade, et voici comment.
Il y avait là, ensemble, Simon-Pierre,
avec Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau),
Nathanaël, de Cana de Galilée,
les fils de Zébédée,
et deux autres de ses disciples.
Simon-Pierre leur dit :

“Je m’en vais à la pêche.”

Ils lui répondent :

“Nous aussi, nous allons avec toi.”

Ils partirent et montèrent dans la barque ;
or, cette nuit-là, ils ne prirent rien.

Au lever du jour, Jésus se tenait sur le rivage,
mais les disciples ne savaient pas que c’était lui.
Jésus leur dit :

“Les enfants,
auriez-vous quelque chose à manger ?”

Ils lui répondirent :

“Non.”

Il leur dit :

“Jetez le filet à droite de la barque,
et vous trouverez.”

Ils jetèrent donc le filet,
et cette fois ils n’arrivaient pas à le tirer,
tellement il y avait de poissons.
Alors, le disciple que Jésus aimait
dit à Pierre :

“C’est le Seigneur !”

Quand Simon-Pierre entendit que c’était le Seigneur,
il passa un vêtement,
car il n’avait rien sur lui,
et il se jeta à l’eau.
Les autres disciples arrivèrent en barque,
traînant le filet plein de poissons ;
la terre n’était qu’à une centaine de mètres.

Une fois descendus à terre,
ils aperçoivent, disposé là, un feu de braise
avec du poisson posé dessus,
et du pain.
Jésus leur dit :

“Apportez donc de ces poissons que vous venez de prendre.”

Simon-Pierre remonta
et tira jusqu’à terre le filet plein de gros poissons :
il y en avait cent cinquante-trois.
Et, malgré cette quantité, le filet ne s’était pas déchiré.
Jésus leur dit alors :

“Venez manger.”

Aucun des disciples n’osait lui demander :

“Qui es-tu ?”

Ils savaient que c’était le Seigneur.
Jésus s’approche ;
il prend le pain
et le leur donne ;
et de même pour le poisson.
C’était la troisième fois
que Jésus ressuscité d’entre les morts
se manifestait à ses disciples.

– Acclamons la Parole de Dieu.

Première lecture

Première lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (1 Co 15, 1-8)

Il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres.

Frères,
je vous rappelle la Bonne Nouvelle
que je vous ai annoncée ;
cet Évangile, vous l’avez reçu ;
c’est en lui que vous tenez bon,
c’est par lui que vous serez sauvés
si vous le gardez tel que je vous l’ai annoncé ;
autrement, c’est pour rien que vous êtes devenus croyants.

Avant tout, je vous ai transmis ceci,
que j’ai moi-même reçu :
le Christ est mort pour nos péchés
conformément aux Écritures,
et il fut mis au tombeau ;
il est ressuscité le troisième jour
conformément aux Écritures,
il est apparu à Pierre, puis aux Douze ;
ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois
— la plupart sont encore vivants,
et quelques-uns sont endormis dans la mort –,
ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres.
Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis.

— Parole du Seigneur.

Psaume

Ps 18 (19), 2-3. 4-5ab

Par toute la terre s'en va leur message.

Les cieux proclament la gloire de Dieu,
le firmament raconte l’ouvrage de ses mains.
Le jour au jour en livre le récit
et la nuit à la nuit en donne connaissance.

Pas de paroles dans ce récit,
pas de voix qui s’entende ;
mais sur toute la terre en paraît le message
et la nouvelle, aux limites du monde.

Évangile

Alléluia. Alléluia.

Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie, dit le Seigneur. Philippe, celui qui m’a vu a vu le Père.

Alléluia.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean (Jn 14, 6-14)

Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne me connais pas !

En ce temps-là,
Jésus dit à Thomas :

“Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ;
personne ne va vers le Père sans passer par moi.
Puisque vous me connaissez,
vous connaîtrez aussi mon Père.
Dès maintenant vous le connaissez,
et vous l’avez vu.”

Philippe lui dit :

“Seigneur, montre-nous le Père ;
cela nous suffit.”

Jésus lui répond :

“Il y a si longtemps que je suis avec vous,
et tu ne me connais pas, Philippe !
Celui qui m’a vu
a vu le Père.
Comment peux-tu dire : ‘Montre-nous le Père’ ?
Tu ne crois donc pas que je suis dans le Père
et que le Père est en moi !
Les paroles que je vous dis,
je ne les dis pas de moi-même ;
le Père qui demeure en moi
fait ses propres œuvres.
Croyez-moi :
je suis dans le Père,
et le Père est en moi ;
si vous ne me croyez pas,
croyez du moins à cause des œuvres elles-mêmes.
Amen, amen, je vous le dis :
celui qui croit en moi
fera les œuvres que je fais.
Il en fera même de plus grandes,
parce que je pars vers le Père,
et tout ce que vous demanderez en mon nom,
je le ferai,
afin que le Père soit glorifié dans le Fils.
Quand vous me demanderez quelque chose en mon nom,
moi, je le ferai.”

— Acclamons la Parole de Dieu.

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