Les Ancêtres n'étaient pas destinés à être servis mais méritaient d'être respectés car ils ont transmis et protégé la Vie pour toutes les générations à venir. Il est important de respecter tous les défunts et les Ancêtres qui les ont précédés dans l'au-delà.

Le Père Rahajarizafy Antoine de Padoue l'a écrit dans son livre : Philosophie Malgache (pp. 124-151), et il dit clairement que le seul à adorer est Andriananahary. D'autre part, dit-il, les Malgaches ont vu la lumière dans la religion chrétienne, a complètement rassuré son esprit et l'a complètement satisfait. Il est donc juste que nous respections ceux qui sont décédés et que nous nous souvenions spécialement d'eux chaque année et chaque lundi. Ils ont donné et laissé un bon exemple à suivre, car ils se sont engagés à développer le physique et les moyens de subsistance, ont vécu selon le cœur et la paix, ont vécu spirituellement et avec droiture. Par conséquent, tous ceux qui sont décédés interagissent avec nous tous les jours et peuvent également prier et plaider pour nous.

La richesse est une richesse si elle est productive et produit pour le bien de tous

Que la grâce et la paix du Seigneur Jésus-Christ soient toujours avec vous. A tous les responsables de tous les niveaux du pays, A tout le peuple malagasy et aux gens de bonne volonté. Que la grâce et la paix du Seigneur Jésus-Christ soient toujours avec vous ! Deux fois par an, nous membres de la Commission des Evêques pour Justice et Paix à Madagascar nous organisons une Assemblée Générale. En cette année 2025, 1la première rencontre s'est tenue du 08 au 12 Mai à Madiorano- Diocèse de Toliara...

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Noël est vraiment jour de grâce, si...

Le Père Innocent Bizimana, Provincial des Salésiens de Don Bosco de Madagascar et de l'Île Maurice, nous présente, au nom de toute la Famille Salésienne de la Province, les vœux de bonheur en cette Solennité de la Nativité du Seigneur.

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Zatti, notre frère

Le court métrage "Zatti, notre frère" (Argentina, 2020) se concentre sur l’un des épisodes les plus difficiles de sa vie. Nous sommes à Viedma, en 1941: à 60 ans, Zatti est contraint de quitter l’hôpital qu’il a fréquenté pendant des décennies. Sa foi et sa force sont mises à l’épreuve.

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