4 juin 2024 — Mardi, Neuvième Semaine du Temps Ordinaire — Que le Père de notre Seigneur Jésus Christ ouvre à sa lumière les yeux de notre cœur, pour que nous percevions l’espérance que donne son appel — Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc (Mc 12, 13-17)
En ce temps-là,
on envoya à Jésus des pharisiens et des partisans d’Hérode
pour lui tendre un piège en le faisant parler,
et ceux-ci vinrent lui dire :
“Maître, nous le savons : tu es toujours vrai ;
tu ne te laisses influencer par personne,
car ce n’est pas selon l’apparence que tu considères les gens,
mais tu enseignes le chemin de Dieu selon la vérité.
Est-il permis, oui ou non,
de payer l’impôt à César, l’empereur ?
Devons-nous payer, oui ou non ?”
Mais lui, sachant leur hypocrisie, leur dit :
“Pourquoi voulez-vous me mettre à l’épreuve ?
Faites-moi voir une pièce d’argent.”
Ils en apportèrent une,
et Jésus leur dit :
“Cette effigie et cette inscription,
de qui sont-elles ?
– De César”, répondent-ils.
Jésus leur dit :
“Ce qui est à César, rendez-le à César,
et à Dieu ce qui est à Dieu.”
Et ils étaient remplis d’étonnement à son sujet.