La réalité de la migration forcée est également une question complexe et personne n’a de recette toute faite pour la résoudre. Je répète que pour surmonter les préjugés sur les migrants et dénouer la dureté de nos cœurs, il faudrait essayer d’écouter leurs histoires ; donner un nom et une histoire à chacun d’eux. Beaucoup de bons journalistes le font déjà. Catéchèse sur les communications sociales, avec le P. Marcel Ranivomanalina.